Le général Mamadi Doumbouya, président de la transition, a annoncé ce samedi 27 septembre 2025, par décret pris en Conseil des ministres et lu à la télévision nationale, la date de la prochaine élection présidentielle. Les électeurs guinéens seront appelés aux urnes le dimanche 28 décembre 2025.
Selon le texte officiel, cette décision s’appuie sur la Constitution récemment promulguée ainsi que sur la loi organique portant code électoral. Elle intervient après avis de la Direction générale des élections (DGE) et de l’Observatoire national autonome de supervision du référendum constitutionnel, deux organes chargés d’accompagner le processus électoral.
Le décret précise que plusieurs ministères de souveraineté, en coordination avec les institutions électorales compétentes, sont tenus de prendre toutes les dispositions nécessaires afin de garantir la tenue du scrutin sur l’ensemble du territoire national.
Cette annonce marque une étape décisive dans le calendrier de la transition guinéenne, moins d’une semaine après la promulgation de la nouvelle Constitution issue du référendum du 21 septembre 2025. Celle-ci a redéfini le cadre institutionnel du pays et ouvert la voie au retour à un ordre constitutionnel, attendu aussi bien par la population que par la communauté internationale.
Gbassikolo.com
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BAH OURY est rempli de haine, tant qu’il peut faire mal et prendre sa revanche contre CDD, même s’il n’est pas au mangeoire il sera content. IL n’arrive pas toujours à digérer son exclusion a L’UFDG.
BAH Oury est plus qu’un larbin, il n’y a pas de qualificatif pour BAH OURY. IL à le summum du cynisme et de la mauvaise foi.
Koto AOT,
Le premier de ces larbins est Bah Oury, mais je ne sais pas s’il a conscience que plus vite cette mascarade de transition va se conclure, plus court devient son temps autour de la mangeoire. Apres le hold up electoral, les cagoules n’auront plus besoin de son larbinisme, et c’est le destin de Bernard Goumou qui l’attend : errance et frustration. Il faut esperer pour lui qu’il aura finalement remplis ce fond de retraite au nom duquel il aura rampe et cire des pompes jusqu’a l’ecourement ces dernieres annees.
Incroyable, les 10 points obligeatoires au retour de la democratie en Guinee (dixit les larbins des cagoules) sont completes en moins de 6 mois…
Voici la meilleure preuve qu’une transition qui dure plus de 6 mois est en fait un simple changement de dictature – une lecon pour tous les prochains putchs en Afrique !
Bam(lan)ce lance ses immondices à vau-l’eau. Arrête tes conneries.
Le mieux est qu’il déclare simplement DOUMBOUYA SA MAJESTÉ GÉNÉRAL PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE.
Cela épargnera le pays des dépenses inutiles, mais vu que les élections sont une source d’enrichissement illicite pour les courtisans et ennemis de la République, ils feront tout pour faire croire au DICTATEUR qu’il est plus aimé et qu’il est une providence pour la Guinée.