Chers compatriotes,
De mon lit de malade j’ai pris la décision de m’adresser à vous à travers cette lettre ouverte pour éclairer la lanterne de chacun, vous qui avez la faculté de discernement pour distinguer le vrai du faux. Je me suis résolu enfin à sortir de ma réserve volontaire et à briser mon long silence.
Il m’aurait plu de me livrer à cet effort d’explication nécessaire pour vous édifier devant la barre, comme il est de règle, lorsqu’on a maille à partir avec la justice. Mais, c’est peine perdue, parce que l’on n’est pas dans la situation où ce ne sont pas les faits, preuves à l’appui qui compte. Ce n’est ni la vérité qui est recherchée, ni la justice qu’on a le souci de rendre dans cette cabale politico-judiciaire. Des têtes doivent tomber dans la campagne de chasse aux sorcières ciblée et sélective en cours dans notre cher pays. Ce n’est plus un secret pour personne.
Les faits parlent d’eux-mêmes. A ce jour, j’ai bénéficié, de même que mes compagnons « d’infortune » de 4 ordonnances, au moins, de mise en liberté, restées lettres mortes. Les magistrats qui ont eu le courage de prendre ces décisions, malgré la difficulté pour eux d’appliquer la Loi et de dire le droit dans un climat d’intimidation et de pressions intempestives, ont subi comme moi et tant d’autres le fait du Prince, érigé en doctrine de Gouvernance.
Où est la justice tant clamée ?
Où est la boussole tant vantée ?
Où se trouve l’équité souhaitée par tous devant la loi ?
Avant d’en arriver là, je tiens à rappeler que nous avons été arrêtés, déportés à la maison centrale dans des conditions et circonstances qui n’ont rien à voir avec l’État de droit, les bonnes pratiques en matière de poursuites judiciaires, qui n’honorent pas la République, ne peuvent pas faire non plus la fierté d’aucun Guinéen. Pour moi, qui, 40 années durant, ai fréquenté l’État et fais carrière dans notre administration publique, j’éprouve un sentiment de gêne, de frustration et de honte aussi de savoir que la Guinée touche le fond, se trouve dans le creux de la vague au regard des droits de l’homme et des libertés individuelles.
Je l’ai signifié par écrit, sans équivoque, au procureur spécial de la CRIEF, Mr. Aly Touré, lorsqu’il m’avait demandé de commenter sa décision de me placer sous mandat de dépôt dans une procédure rocambolesque de flagrant délit. Je l’ai réitéré au Ministre de la Justice, Mr Alphonse Charles Wright quand il m’a rendu visite récemment à l’hôpital. Des hommes de Loi comme le Procureur spécial de la CRIEF, Aly Touré qui ont une maitrise plutôt approximative du droit et une moralité pour le moins douteuse enfreignent la Loi, bafouent les Droits de l’Homme allègrement, ne mesurent même pas le tort immense qu’ils causent au pays et ne se rendent pas comptent jusqu’où ils rabaissent les Guinéens et abiment l’image de la Guinée et de sa justice républicaine.
Je précise que je suis avec mes compagnons, à la maison centrale sans le moindre titre de détention en cours de validité. Je lance le défi à Mr. le Procureur Spécial de montrer au peuple de Guinée auquel il aime souvent s’adresser à propos de la procédure nous concernant, la base légale de notre détention à date. Bientôt un an, nous sommes privés de liberté et jetés dans cet établissement pénitentiaire sans ménagement, dans l’illégalité absolue.
Voilà, maintenant, après ce chemin de croix et une cascade de violations des règles et procédures sacrées du Droit, qu’on annonce, dans une précipitation suspecte, une grande effervescence médiatique, un procès pour ce 15 mars courant. En d’autres temps, d’autres conditions, c’est une bonne nouvelle, car enfin nous avons l’occasion de nous expliquer devant l’opinion, devant Dieu et les Hommes pour prouver notre innocence, si évidente, laver notre honneur, souillé pour longtemps. De cause à effet, un procès organisé à la suite du tableau très sombre ainsi dévoilé n’a aucune chance d’être juste et équitable, parce qu’il n’est pas inspiré par la rigueur du droit et de la loi, mais, il est plutôt destiné à satisfaire l’orgueil d’avoir raison dans un dossier totalement vide. Derrière ce procès, il y a une volonté clairement exprimée de sauver la face dans un feuilleton qui n’a que trop duré et a fini par lasser et agacer toutes les bonnes consciences. Même les plus patients et indulgents d’entre nous, se montrent révoltés par une oppression ambiante.
Chers compatriotes,
Il faut savoir que l’ordonnance qui nous renvoie devant la juridiction de jugement ne comporte aucun grief retenu à mon encontre, discuté préalablement comme l’exige la loi pendant l’instruction ou évoqué avec mes conseils. Il s’agit de nouvelles accusations, sorties de nulle part, dont nous n’avons jamais eu connaissance auparavant, à aucune des étapes de la procédure, à aucune des phases de l’instruction des 9 derniers mois. Comment être jugé sur des pièces et des éléments gardés à la discrétion des seuls poursuivants, ignorés des accusés et des autres parties dans le procès ? Où est la transparence exigée par tous et pour tous ? Peut-on, ainsi parler de procès équitable, sans contradiction ?
On invoque des détournements de fonds publics. Malgré tout le temps écoulé, on est toujours au stade de soupçons vagues, de présomptions virtuelles, de suspicion hasardeuse, d’indices incertains, bref on baigne dans l’abstrait et le dilatoire. Aucun fait, aussi dérisoire qu’il puisse paraitre, n’est venu étayer l’accusation, aucune preuve, si mince qu’elle soit, n’a été brandie pour assoir la conviction des magistrats. Comme moyens de preuves, il n’y a aucun audit, aucun rapport d’audit produit, versé dans le dossier, résultant de missions d’inspection au sein des structures publiques (en l’occurrence l’ANIES et La MAMRI) qui auraient été spoliées ou seraient victimes de malversations financières, de détournements de deniers publics. L’ironie du sort est que ces structures publiques disposent toutes de Conseils d’Administration ou de comités de pilotages, de services comptables et d’audits internes. L’ironie du sort est que sur les périodes comptables considérées, ces structures n’ont pas signalé des déperditions frauduleuses de ressources financières, encore moins une implication quelconque du Premier Ministre que je fus dans la gestion courante desdites structures. De quoi, m’accuse t-on alors ?
Mille fois, hélas ! L’acharnement ne s’est pas limité qu’à moi, les actes d’offense et de vexations ont touché ma famille et mes proches aussi. Seul concerné dans l’affaire, ma famille et mes proches n’ayant pas été impliqué dans ma gestion, d’une manière ou d’une autre, ce n’est pas qu’à ma seule personne cependant que les magistrats s’intéressent. L’une après l’autre, toutes les personnes liées à moi, peu ou prou, soupçonnées d’appartenir à mon cercle proche ont été interpelées, interrogées, persécutées, sans motifs ni raisons.
A toutes ces victimes collatérales et innocentes, trainées devant la justice pour délit de proximité avec moi, je présente mes excuses sincères et exprime mes profonds regrets.
Chers concitoyens,
J’informe l’opinion publique nationale et internationale que je suis arrivé à la clinique Pasteur, après toutes les alertes à propos de mon état de santé sans qu’aucune suite n’ait été donnée, dans un fauteuil roulant, incapable de marcher et de me déplacer, tout seul. Il m’a été administré perfusion sur perfusion, me trouvant dans un état critique après la dégradation de ma santé. Le dernier rapport établi par la clinique Pasteur qui ne peut être soupçonnée de complaisance et de légèreté confirme celui de l’infirmerie de la maison centrale six mois plutôt et d’autres médecins Guinéens et étrangers, ayant diagnostiqué déjà une pathologie qui ne peut être traitée sur place, donc nécessite une évacuation sanitaire urgente. C’est une question de vie ou de mort. Les différents rapports ont été adressés aux autorités compétentes depuis six mois déjà et le dernier de la Clinique Pasteur remonte à plus de deux semaines.
Pendant qu’on languit à attendre la réponse à la demande d’évacuation formulée, on veut nous forcer à aller à un procès. Dans aucun pays au monde, on ne peut se permettre de juger une personne malade, attraire devant la barre un patient qui ne dispose pas de toutes ses facultés pour pouvoir s’expliquer et se défendre, convenablement. Personne ne mérite d’être traitée ainsi. Je ne revendique rien qui ne soit pas de mon droit comme celui propre à chacun de bénéficier de soins adéquats en cas de maladie.
J’informe donc chacun et tous que je ne me présenterai pas à un juge dans les conditions d’aujourd’hui. Tout comme mes codétenus ne se présenteront pas à un procès aussi longtemps que leurs droits à la liberté et les décisions judiciaires pertinentes déjà prises à cet effet, ne seront pas respectées.
A ceux qui nous exhortent de croire en notre justice, de faire confiance en nos magistrats, nous les invitons, à notre tour, à récapituler les faits, chronologiquement comme je viens de le faire pour comprendre que dès le début, ce n’est pas de justice dont il est question. Le problème posé, il est politique, la solution sera donc tout aussi politique. N’oublions pas que depuis le 5 septembre 2021, notre pays vit sous un régime d’exception consécutif au coup d’État perpétré. Nous sommes sous une administration militaire, différente de notre système de valeurs habituel que nous continuons de défendre, que nous souhaitons rétablir au terme de la transition en cours.
En tant que Républicain et démocrate, il se pose aussi à moi le problème de fond et de conscience de croire que dans la situation d’aujourd’hui de notre pays, on peut parler de justice et de rendre justice. Ne voit-on pas la réalité des choses, notre sort à tous ?
Mon vœu et mes prières personnelles, en ce moment, c’est de voir notre pays revenir à une vie constitutionnelle normale qui puisse garantir les droits rudimentaires et les libertés fondamentales de chacun. En ce moment, chacun pourra répondre de ses actes, en toute liberté de conscience et dans le respect de ses droits, devant des juridictions indépendantes, animées par des magistrats assermentés, libres et scrupuleux. En lieu et place de cours et tribunaux de ces temps qui courent, taillés sur mesure pour les besoins d’une cause politique et pour servir les maîtres du moment du pays.
Chers concitoyens,
En m’engageant en politique, en décidant de servir mon pays, je ne m’attendais pas à une vie tranquille ni à bénéficier de faveurs particulières. Servir est un sacerdoce, l’engagement demande des sacrifices qu’il faut être prêt à consentir et subir dans une foi ardente et un courage de tous les instants.
Il arrive toujours l’heure de rendre des comptes, à sa conscience d’abord, à la société, ensuite. Je n’ai pas attendu d’être interpelé pour le réaliser ou me soumettre à ce devoir citoyen et républicain. Dans ma vie personnelle comme professionnelle, j’ai toujours fait l’effort de respecter l’exigence de rigueur et d’exemplarité. Peut-être que j’ai pu faillir dans ma volonté d’accéder à la perfection, mais, je ne me suis rendu coupable d’aucun acte répréhensible qui va à l’encontre de l’éthique ou de nature à bafouer mon honneur.
En tant que citoyen, je suis un justiciable comme un autre qui n’est pas au-dessus de la loi mais je demeure aussi un homme, jusqu’à preuve du contraire, jouissant pleinement de tous ses droits. Aussi, lorsque j’ai été convoqué par les nouvelles autorités, de bonne foi, même s’il y avait énormément à redire sur les méthodes employées et les véritables intentions, je n’ai opposé aucune résistance. Il n’y aucun mal à s’expliquer lorsqu’on a eu en charge les affaires publiques à tout moment et en tout lieu. Cependant, la démarche ne doit pas être empreinte de préjugés ni servir de prétexte à comprimer les libertés fondamentales et à compromettre des droits inaliénables.
La justice a pris le relais dans les poursuites engagées contre d’autres personnalités et moi. Sans autre forme de procès, le sort réservé à tous fut la prison qui est une mesure extrême pour des personnes réputées infréquentables et dangereuses pour les autres dont ils seraient devenus l’enfer. La règle édictée est d embastiller à priori les anciens dignitaires, et rechercher les preuves à posteriori devant justifier in fine les condamnations programmées.
Voudrait-on nous faire comprendre que dans notre propre pays, nous serions devenus des parias, mis au ban de la société ou serions-nous interdits d’un minimum d’égard dû à chacun ?
Chers concitoyens,
Il ne sert à rien de parler lorsqu’il n’y a pas de sérénité dans la cité, c’est la passion qui domine les différentes prises de position. Le jugement d’une opinion conditionnée, chauffée à bloc, tombe sur la tête comme un couperet, avant le verdict de la justice. Maintenant que le temps a fait son œuvre, la justice a été suffisamment mise à l’épreuve, chacun se rend compte qu’il faille chercher ailleurs les raisons de notre incarcération que dans les crimes qu’on aurait commis, qui nous seraient reprochés.
Je rappelle, pour mémoire, sans verser dans l’orgueil et la vanité que je suis un pionnier dans la lutte contre la corruption, l’enrichissement illicite qu’on m’oppose, aujourd’hui. Sous la gouvernance Lansana Conté, alors Ministre de l’Économie et des Finances, j’ai lancé une opération mains propres dans l’administration jusque dans les rangs de l’Armée, en passant par la corde sensible des lieux de culte. L’impunité n’a été garantie à personne, il n’y a pas eu d’intouchables. Seul, contre tous, j’ai été poussé vers la sortie avec à la clé le chemin de croix de l’exil forcé et un long congé (14 ans) de l’administration publique. Des affaires de malversations qui ont éclaboussé de nombreuses personnalités ont été révélées à la face du monde. D’importants montants compromis ont été récupérés et reversés dans les caisses de l’État.
Nommé Premier ministre, par le professeur Alpha Condé, alors que rien ne m’y obligeait, personne ne me l’avait expressément demandé, bien que conscient de tous les périls qui s’y attachent dans notre pays, dès ma prise fonction, je me suis engagé devant la Représentation nationale à mener une lutte sans merci contre la corruption et ses corolaires, la mal gouvernance, en général. La levée de bouclier qui a suivi les premières actions, les fortes résistances rencontrées ne m’ont pas ébranlé dans ma détermination, ne m’ont pas détourné de mes engagements et de mes objectifs. Mais, je dois reconnaitre n’avoir pas pu aller très loin dans mes efforts, ni jusqu’au bout de ma volonté. Il y a eu cependant des résultats probants.
Comme la première fois, j’ai mesuré le défi de changer une société réfractaire au changement comme il m’est donné de subir aujourd’hui, dans ma chair et dans mon âme, l’héritage de violence de l’État et de dysfonctionnements dans l’appareil judiciaire. Nous avons un passé de répression, une culture de l’injustice qui résistent au temps, au changement, traverse les générations pour le malheur de tous. Le monde ne s’est pas fait, en un jour, les hommes restent ce qu’ils sont, peinent toujours à évoluer et à s’adapter à leur époque. L’instinct de conservation et de survie empêchent d’accéder à la vertu et de donner le meilleur de soi-même, de servir les bonnes causes.
Chers concitoyens,
J’entends dire que je suis justiciable, qu’il faudrait me juger. Je suis disposé à comparaitre devant une justice libre, libre de toute pression, de toute influence, distante aussi des autres pouvoirs. Je suis prêt à me présenter en Homme libre et non dans les conditions actuelles de séquestration arbitraire et illégale devant des magistrats indépendants, qui n’ont de maitre que la Loi, résolument engagés à respecter leur serment et à honorer leur noble profession. On peut tous avoir confiance en notre justice, croire en nos magistrats, mais, rappelons-nous toujours du contexte politique et historique, des conditions dans lesquelles la justice est exercée aujourd’hui, les décisions sont rendues.
Tout le monde est témoin de la violation de nos droits les plus élémentaires, de la persécution contre nous marquée par une privation de liberté prolongée et injustifiée, les soins à minima, là où une prise en charge appropriée dans des établissements indiqués s’avère vitale.
Après tout cela, qui peut espérer de nous que nous soyons confiants dans nos institutions, qui peut attendre de nous que nous nous en remettions à la justice comme recours.
Chers concitoyens,
Comme dans l’opinion, des voix s’élèvent pour faire le procès de responsables publics et hommes d’État qui ont assumé les difficultés et sacrifices de leurs fonctions, dans l’honneur et la dignité, des forces dans les rouages de l’État et les arcanes de la justice, mues par des arrières- pensées et des visées obscures, sont portées à régler des comptes qu’à en demander dans le cadre de la redevabilité incombant à tout gestionnaire public.
C’est clair pour moi, qu’on n’est plus dans le domaine de la justice mais sur le terrain politique. L’agenda politique et les jeux de pouvoir dans la transition impliquent des acteurs qui ne veulent pas d’obstacles devant eux, de menaces contre eux dans la course à la succession, la bataille pour la Présidence de la République.
Le pêché d’ambition présidentielle expose à tous les dangers, précipite des poursuites comme si l’autorité de sélectionner les candidats était plus forte que le pouvoir du peuple de choisir librement ses dirigeants.
Chers concitoyens,
En prison, on a la conscience libre, la tête haute, on est en paix avec soi-même, lorsqu’on est convaincu que l’hydre de l’injustice, sans nom ni visage ne résistera pas aux temps que la vérité finira tôt ou tard par triompher. Là où on ne peut espérer la justice des Hommes, il faut s’attendre à celle de Dieu qui peut tarder, mais, aura le dernier mot.
Dans la vie démocratique, c’est le peuple qui tranche, comme seul Dieu décidera toujours du destin de chacun.
Pour ma part, j’ai choisi de vivre en homme libre et responsable, tranquille avec sa conscience que de renoncer à l’honneur et à la dignité, rien que pour survivre.
Que Dieu sauve la Guinée !!!!
Ibrahima Kassory FOFANA Président du Conseil Exécutif du RPG Arc-en-ciel
BAMCE
Je sais pointer du doigt vos haines que vous ne cessez de déverser là dans vos commentaires mêmes si je comprends que c’est des façons d’exprimer vos frustrations.
Ce pays nous le connaissons et savons à peu près ce qu’ont faits les uns et les autres.
Vos haines ne nuiront qu’à votre chapelle à vous.
@Pan-Africain
Non, il n’y a pas d’injures, mais evidemment il faut bien comprendre le francais pour s’en rendre compte. De toutes les facons, je n’ai pas besoin d’injures avec quelqu’un comme toi. Des comme toi, il y en a des millions parmi les guineens. Et ca explique bien des choses. En fin de compte, on finit par se fatiguer d’expliquer les choses encore et encore. Alors bon vent. Dieu fasse que tu croises la lumiere.
Tag, Encore des injures inutiles. Relis bien mon commentaire et tu comprendras pourquoi ils ne tuent pas dans les autres quartiers . Tu lis mais ne comprends que ce que tu veux comprendre. Je l’ai dit à multiples reprises que des éléments des forces de l’ordre détestent les populations qui vivent dans ces quartiers de l’axe . Il y a des gens au sein de l’administration qui se demandent aujourd’hui comment ils ont laissé des populations majoritairement Peuls s’installer massivement sur l’axe et donc il faut leur rendre la vie dure. C’est pourquoi il n y a non seulement pas… Lire la suite
@Pan-Africain C’est malhonnete de pretendre que tu sais mieux que nous ce qui emmene les jeunes de l’axe a sortir manifester. C’est tout aussi malhonnete de dire qu’ils « sont tués lors des manifestations parce qu’ils n’ont pas les moyens de répliquer« . Alors pourquoi les manifestants de Kanakan ou de Kaloum, eux, ne sont pas tues ? Franchement, si tu es si amoureux que tu es incapable de dire ce que tout le monde sait comme evident, a savoir que des militaires et policiers y sont envoyes avec des armes de guerre pour tirer sur les jeunes de l’axe, tu devrais… Lire la suite
Shams Deen parle d’un BALDE imaginaire… , il était en manque d’arguments, il s’est fait déborder par les émotions, il a raconté du n’importe quoi.
La lâcheté vient de lui qui se déguise avec des paroles, et il cache au fond de lui la tromperie.
Shams Deen est rempli de haine et de malhonnêteté, il n’a même pas honte de désigner les Peulhs par des termes <> <>
Youssouf, Je partage votre avis sur Cellou vu la gestion chaotique de Alpha. A vrai dire , il n y a aucun politicien Guinéen qui m’inspire confiance d’où mon désir de voir le poste de président purement et simplement aboli dans ce pays . On n’en a pas besoin . C’est juste pour nommer des copins, copines et amies à des postes clés et se partager le pays . On n’a simplement besoin d’un Etat de droit qui garantit la protection des citoyens , de la propriété privée et qui donne le permis de port d’armes à tous les Guinéens.… Lire la suite
Tag at Gandhi, Vous ne savez peut être pas comment est ce que ces jeunes sortent dans les rues et pourquoi ils sortent même quand les manifestations sont organisées sur l’autoroute et non la route de Prince. Oui ils sont tués lors des manifestations parce qu’ils n’ont pas les moyens de répliquer. Tant que ça restera le cas, ils continueront d’être tués. Je ne vois pas ce qui est si compliqué à comprendre ici. On sait tous qu’il y a au sein des FDS des gens qui détestent les populations qui vivent dans ces quartiers , on sait aussi que… Lire la suite
Moi je vais être clair, je ne discute plus avec les gens qui affirment que les manifestants ont cherché la mort (donnant ainsi leur blanc seing aux assassinats). je les frappe d’abord et je discute ensuite, si c’est encore possible…
On a le droit de faire des erreurs, mais il n’y a plus rien à faire contre la mauvaise foi.
@Schams Deen
« L’équilibre dont vous appelez de vos vœux ici ont été voulus par vos lâches BALDE et cie en 1985 ».
De quel équilibre parlez-vous ?
Que voulez-vous dire par lâche ?
Ceux qui ne connaissent pas l’histoire et le rôle d’Alhousseiny Fofana en 85, veulent se raconter des histoires, les mêmes que celles qui nous sont serinées depuis 60 ans. L’histoire appartient aux vainqueurs paraît-il, mais elle est heureusement réversible…
Shams ,
SVP , de QUEL BALDE parlez vous ?
Pan -Africain, il est vrai que Doumbouya a une immense volonté de changer les choses, sera t-il capable de continuer durant les 24 mois qui lui ont été assignés surtout surtout, aura t-il le temps nécessaire pour le faire ? Soyons sérieux, non, 24 mois sont très très courts pour un changement en profondeur en Guinée .Lui, c’est un homme nouveau, pas d’amis dans la bourgeoisie locale, pas de petits dans les ministères malgré ses crimes et ses arrestations arbitraires, il a beaucoup de choses pour la Guinée . Je ne crois absolument pas que celui qui sera élu si… Lire la suite
Shams en veut autant au Général Baldé que les membres de l’association des victimes du camp boiro en veulent à ceux qui sont morts en Juillet 1985. Rarement il ne fait cas de Alhousseny Fofana . C’est la même posture qu’à l’ancien président de l’AN, Damaro. Puisque le RPG est allié à l’élite soussou, depuis l’arrivée de Alpha, ce sont les officiers Fulbe qui furent derrière les événements de Juillet. Sous Conté, on parlait des officiers Soussous eux mêmes . En vérité , ces anciens dignitaires du PDG avaient eu même privé à d’autres personnes des procès équitables et justes.… Lire la suite
@Pan-Africain Je ne sais pas ce que Mamady Doumbouya a fait de toi, mais il semble avoir gele ton esprit critique. Tu ne peux logiquement pas reprocher a Alpha Conde les morts qui remplissent le cimetiere de Bambeto de 2010 a 2021, a Dadis Camara les morts du 28 Septembre, et absoudre Mamadi Doumbouya des 17 morts de manifestants depuis le 5 Septembre 2021 sans compter les les soldats tues lors du coup d’Etat. Et honnetement, oser imputer les morts de manifestants a un parti politique qui exerce son droit constitutionnel de manifester et absoudre les soldats qui tuent avec… Lire la suite
@shams Deen
Parce que tu crois que je m’adresse a toi par courtoisie peut-etre ? Tu ne m’intersses pas du tout. En revanche, je me suis promis de ne pas laisser prosperer tes mensonges sur ce forum. La, tu es pris en flagrant delit de manipulation; j’en ai juste fait le constat. Tu peux donc retourner a tes reunions d’angbansanle en sachant que je t’attendrai toujours ici de pied ferme.
Tag Encore une fois je n’ai pas sonné à ta porte donc ton avis ne m’intéresse pas malgré ton invite à ce que l’on descende dans le caniveau,NEI.. Si quelqu’un déteste son prochain parceque son nom est différent,beh c’est son affaire à lui. J’ai fait référence à Damaro & CDD ainsi que Cherif Bah parceque un homme sain d’esprit doit selon moi condamner ce qui est une INJUSTICE même si c’est un ennemi qui en est victime. La HAINE de Cherif lui ait revenu en boomerang en très peu de temps et d’ailleurs il est lui même tenu hors du… Lire la suite
@ Schams Deen
« Vos officiers BALDE et cie ont été lâches »
J’ignorais que loyauté était synonyme de lâcheté. J’avais cru comprendre que c’étaient les peuls qui poignardaient dans le dos, mais comme ces derniers ne croient qu’aux élections…
@Pan Africain « J’ai vu en lui quelqu’un qui veut changer les choses. Malheureusement pour lui et pour nous tous, l’UFDG a décidé de jeter des enfants dans la rue ». Bizarrement malgré mes lunettes, je n’ai pas vu la même chose. Doumbouya est effectivement différent, non pas parce qu’il continue comme ses prédécesseurs à enterrer des Guinéens dans des fosses communes sans aucune considération pour leur dignité, mais parce qu’il est bien obligé de reconnaître la situation, contrairement à Dadis qui n’a rien vu, rien entendu. Quand à l’UFDG elle met des enfants dans la rue, comme d’autres ont pu le… Lire la suite
“ J’ai vu Cherif Bah jubilé sur la misère que les militaires ont faits subir à Damaro surtout son expulsion de son logement et en moins d’un ou deux mois c’est ce même Cherif Bah que j’ai vu triste et anéanti par la misère que les mêmes militaires faisaient subir à Cellou.” Le cas de Chérif et de Ousmane sont différents des autres . Ils étaient en prison sous Alpha alors que Damaro et Kassory étaient aux affaires donc c’est une affaire personnelle . Je n’ai jamais été dans leurs positions et je ne leur en veux pas non plus… Lire la suite
@Shams Deen Tu ne vas pas te servir de moi pour te sortir du flagrant delit de mensonge et d’incitation a la haine Soussou-Peuhle dans lesquels tout le monde t’a pris. Alors je repete encore une fois: Kassory Fofana est mis en detention par les putchistes angbansanle. Si des gens detestent Kassory en Guinee, ce sont les putchistes angbansanle et leur soutiens. Et si ce n’etait en raison de ta cecite, tu verrais que tu t’addresses a celui qui, il n’y a pas une quinzaine de jours, deplorait le fait que Kassory dorme en prison dans une affaire de detourement… Lire la suite
BAMCE
Je pense que ça ne va plus si vous pensez que c’est la dénonciation de votre argumentaire de lâche qui opposera Sousou et peulhs ,beh ça va pas .
Ce qui a toujours joué contre vous c’est cette posture de cache cache.
Dites à haute et intelligibles voix que nous ici détestons Don Kass parcequ’il n’est pas notre point à la ligne.
Kaou Labé Salaam Je sais que vous connaissez bien de choses que la plupart d’entre nous ici ignore et donc vous avez plus d’informations sur Don kassory que j’ai connu un peu tardivement. Je reproche aux gens qui ont pour la plupart préféré servir le pays sous la première République qui avaient certainement des moyens de faire comme beaucoup d’autres allé ailleurs et c’est pour cette raison que j’ai la préférence pour CDD par rapport à tous ces gens entre autres Alpha et SIDYA. Je ne comprends pas pourquoi ils n’ont pas compris que ALPHA était un simple escroc qui… Lire la suite
“ il faut un homme nouveau, un inconnu de cette l’administration guinéenne, qui n’a pas d’amis dans la bourgeoisie et qui n’aura pas à se soucier de son élection ou de sa réélection .” On avait cru que Alpha allait être cette personne mais malheureusement ce fut le contraire . Moi je suis pessimiste que vous Mr Bangoura. Je ne crois pas que la Guinée a un avenir radieux dans sa structure actuelle. Les commentaires sur ce forum reflètent un peu la haine et le déficit de confiance entre les Guinéens et sans confiance on ne peut rien construire. Nous… Lire la suite
Youssouf ,Vous dites
» Le Grand décideur »
( Le President ) .
Vous avez vu juste et c’ est LE CANCER GUINEEN .
A mon avis , nous devons changer de système de Gouvernance .
L’Assemblée Nationale gère et Le President ARBITRE .
Qu’ en pensez vous ?
@Tag
Shams Deen, comme beaucoup de angbansales sont remplis de haine et de malhonnêteté, ils se déguisent avec des paroles, et ils cachent au fond d’eux la tromperie, ils sont très sournois.
Gandhi, rassurez vous, je crois bien ce que vous dites seulement voilà, je pense que vous ne pourrez pas changer, il serait très difficile voire impossible de changer quoi que ce soit dans notre pays . Tant que vous n’êtes pas à l’intérieur du système, vous pouvez croire qu’on peut facilement le changer, c’est une fois dedans, vous comprendrez l’immense travail à faire pour moraliser les esprits . Je vous jure, entre juillet 1996 et Mai 1997, Sydia Touré n’a ménagé aucun effort pour changer en profondeur l’administration guinéenne, c’était la première fois depuis Sékou Touré que les fonctionnaires Guinéens… Lire la suite
Tag ou foulou Tu n’as pas été sonné à ce que je saches . Je me suis adressé à Youssouf Bangoura qui semble ignoré votre confrérie dont les membres se présentent toujours,je ne suis pas membre de ce parti x ou y . Je répète encore que c’est lâche cette posture et que vous n’arriverez jamais à vos objectifs. Dieu déteste les hypocrites . Vos officiers BALDE et cie ont été lâches c’est pourquoi malgré 1985 nos enfants ont pris le dessus devant ces. lâches. Vous détestez Kassory parce qu’il n’est pas un des vôtres, l’intelligence commande de se poser… Lire la suite
J’ai connu Kassory à la BCRG, il volait déjà. Il n’a fait que cela durant ses 30 ans de carrière. Quelqu’un peut-il indiquer le résultat de ses actions ? Lorsque des malinkés m’initiaient (mon père m’avait confié à des commerçants de Kankan), j’ai découvert que contrairement à moi, ils étaient plus indulgents pour les crimes de sang (pour eux il y a beaucoup de traitres) que pour les crimes économiques (car cela tue davantage de Guinéens par le manque de services de santé qui n’ont pu être mis en place du fait de ces détournements !!!!!). Cela permet de comprendre… Lire la suite
@Shams Deen Tu combines malhonnetete intellectuelle et cecite. S’il y a un lache sur ce forum, c’est bien toi. Presque chacun sur ce forum dit maninka, peuhl, soussou ou forestier quand il veut designer un de ses groupes. Tu es le seul a utiliser des termes comme « ces gens-la », « les gens de peu », etc., pour designer les peuhls. Ca, c’est lache. Pour ce que j’en sais, on peut accuser BAMCE de tout sauf de lachete puisqu’il dit ce qu’il pense sans tourner autour du pot. Vos commentaires respectifs sous cet article sont illustratifs de ce que je viens de dire;… Lire la suite
Shams Deen Vous êtes allergique à la vérité et vous êtes en cours d’arguments, la lâcheté vient de vous qui par arrogance, malhonnêteté, égoïsme, incompétence, vous avez enfoncer la Guinée dans l’abîme. Vous êtes dans un déni et vous ne vous rendez pas compte que vous êtes le cancer de la Guinée et tout.e Guinéenn.e saint d’esprit est conscient de cela à part vous. Vous êtes tellement sournois, dès qu’on a parler des crimes de droits humains et économiques de Kassory F vous sauter sur l’occasion pour essayer d’opposer peulh et sousous comme vous ne savez faire que ça, rater… Lire la suite
Shams, J’ai remarqué quelque chose en vous , le fait que vous n’aimez jamais voir un cadre Guinéen avoir des ennuis avec la justice. Vous dites que vous en voulez aux Guinéens de s’être associés à l’escroc Alpha mais vous trouvez quand même la force de dédouaner Kassory. Comment ça marche donc ? Puisque ce dernier a été premier ministre et bien avant cela à diriger des postes clés. Vous l’avez toujours apprécié. Peut être que c’est personnel parce qu’en Guinée il est rare de voir des simples citoyens appréciés Kassory d’où d’ailleurs ses résultats médiocres lors des élections y… Lire la suite
Shams ,
» L’ ESCROC QUI ETAIT ALPHA CONDE » .
Lol
( je ne sais peut-être pas ce que c’est
qu’ un ESCROC ) .
Qu’en est-il de Kassory ( que vous semblez soutenir) en revisitant son parcours ?
Notez bien , Je vous garantis que je le connais plus que beaucoup sur ce forum.
Salam.
BAMCE Si vous pensez que c’est en étant lâches que arriverez a objectifs ,beh c’est raté comme toujours d’ailleurs. Vous détestez Kassory parce qu’il n’est pas un de vous ,il n’y a pas avoir peur ou honte de ses opinions. On vous lis ici et sentons que l’espace sert de tribune pour exprimer vos frustrations qui sont les résultats de vos haines de la vérité et si cela peut atténuer vos frustrations et haines tant mieux autrement l’histoire suit son cours normal. Encore une fois YOUSSOUF a tort de convaincre les gens qui ont décidés volontairement de détester Kassory, S’il… Lire la suite
@Youssouf « je pense que vous serez jamais ministre ou autre haut cadre en Guinée ». Lorsque j’ai habité la Guinée, je n’avais aucune ambition de ce genre (pas davantage aujourd’hui), mais j’ai créé seul une entreprise qui a tellement bien fonctionné, que ce sont des cadres qui ont voulu m’imposer une protection dont je n’avais pas besoin. Il a été facile de me torpiller, preuve que ces cadres sont nuisibles. Aujourd’hui rien n’a change, les cadres sont toujours nuisibles, il faut les balayer, mais je ne vous dit évidemment pas comment faire. Ca viendra en son temps, libre à vous de… Lire la suite
“ La détention de Kassory est clairement arbitraire et politique.”
Ainsi que celle de Damaro et du Dr Diané. Ils ont tous droit à un procès juste et équitable qu’on les aime ou pas .
Doumbouya et ses ministres ont eu aussi intérêt à construire un État de droit où chacun peut répondre librement devant la justice parceque demain, ils pourraient se retrouver à la maison centrale . Kassory n’aurait jamais cru qu’il s’y retrouverait un jour , Dadis non plus.
« Je préfère l’ordre à la justice ».
Cette citation est de Ibrahima Kassory Fofana. La roue tourne comme on dit…
Sinon, le problème n’est pas que Kassory soit innocent des accusations de corruption formulées contre lui. Tout le monde sait que Kassory s’est immensément enrichi dans l’administration guinéenne. Le problème est que la justice de la junte a été incapable d’articuler clairement cette accusation et que tous les délais légaux de sa détention préventive ont été dépassés.
Le dossier de la junte est vide. La détention de Kassory est clairement arbitraire et politique.
Gandhi, je dirais quelle que choses de rigolo,.Et si, ils avaient construit une bonne prison ou Rénover la maison centrale ? Peut être ils seraient dans de meilleurs conditions. La roue tourne.
@Shams Deen Ne tente même pas, tu n’est pas de la même communauté/ethnie que Youssouf Bangoura (aucun peulh ne peut confondre Kassory F à toute une communauté. En principe, les SOUSOUS sont plus ouverts, démocrates, tolérants,…que les autres communautés en Guinée. De plus, les 3 (SOUSOUS, Malinke, Forestiers) contre un (Peulhs) que les MALINKE ont toujours essayer et parfois réussi à faire ne marchera plus, les autres communautés en ont assez de vos sournoiseries. Les Guinéenn.es ont compris quelle est l’ethnie qui est le frein de la démocratie et du développement de la Guinée. Depuis plus de 60 ans on… Lire la suite
Youssouf Bangoura Tu as tort de chercher à faire justifier ( raison) une chose qui est naturelle chez ces « gens là » ,il est des gens qui ont la HAINE de l’autre en bandoulière . Tant que ça vient d’un autre « différent » c’est mauvais mais c’est un proche à eux on justifie par beaucoup d’arguments. Le cas Gaoual est un exemple sous tes yeux malgré la fraîcheur des faits ou encore le dénonciateur des tueries d’enfants pendant les évènements ces derniers temps ,il a boucler ( la bouche étant pleine) et ne sait pas si leurs » militants » tombent encore et… Lire la suite
Je trouve très léger l’argument qui essai de justifier les crimes de droits humains et économiques commis par Kassory. Il est amnésique et manque de dignité, sinon il aurait dû se taire et méditer sur ce qu’il a fait subir aux autres notamment les habitants de l’axe. Pour Kassory c’est la justice, le droit (humain) pour lui et l’ordre à la place de la loi pour les autres.
Gandhi, je pense que vous serez jamais ministre ou autre haut cadre en Guinée, vous avez une vision occidentale des choses, la Guinée c’est autre chose, vous voyez comment les ministres de Doumbouya le magnifient ? Son excellence, le président de la République, le chef de l’état, chef des forces armées de la république de Guinée . Ils le font avec zèle, parfois ça frôle le ridicule . Il y a un reportage( youtube ) en deux parties d’Alain Foka sur la Guinée, la première partie date de 4 mois si vous avez le temps, allez jeter un coup d’oeil,… Lire la suite
Youssouf ,
Gobbels , Heydrich , Himmler , Llaus Barbie…. faisaient ce que HITLER VOULAIT
Ils n’en étaient pas moins des NAZIS .
Les Hauts cadres Guineens sont TOUS COMPLICES à des DEGRES DIFFÉRENTS.
Patron à la Cooperation
Ministre de l’Économie et des Finances
Premier Ministre
C E O du RPG ….
Rien que CA !
Youssouf , a quel Degre de complicité place tu Ibrahima Kassory ?
Oui Youssouf, mais lorsque le chef est un criminel ou un escroc, on n’est pas obligé de le suivre. Si on veut néanmoins lui obéir c’est un choix, mais quand on perd on assume, sans se cacher derrière son petit doigt ou se trouver des excuses. Je ne supporte pas les gens qui disent pile je gagne, face tu perds…
Youssouf, Ce sont les propos de Kassory en 2010 lors de la campagne présidentielle ainsi que ceux qu’il a tenu récemment sous Alpha . “Nous allons les traquer” disait il des jeunes manifestants qui exprimaient leur désapprobation du 3ème mandat. Je vais vous donner un exemple pour illustrer le comportement des cadres Guinéens. Prenez Naïté. Il a été ministre des TPs et a soutenu le troisième mandat mais jamais il n’a accepté de s’afficher et un jour , il pourra dire qu’il était contre ce troisième mandat. C’est le prototype du cadre intelligent . Prenez Mouctar Diallo. Il y a… Lire la suite
Hunnn
Pan -Africain, qu’est-ce que Kassory a fait pour que vous ne l’appréciez pas ? Selon la logique guinéenne, tout haut cadre Guinéen est obligé de faire ce que son chef ( président ) lui demande de faire, il dit pas lui ce qu’il veut dire et il fait pas ce que lui veut faire mais ce que son chef veut qu’il dise et fasse . C’est très regrettable mais en Guinée, à part les commerçants, on ne peut vivre mieux si on est pas accroché à un poste juteux d’où l’obéissance aveugle qu’ont les cadres envers leurs chefs .Mêmes les… Lire la suite
Pour parler comme un politique, je dirai qu’officiellement je trouve scandaleux que Kassory soit enfermé au mépris des règles de droit. Officieusement (en off), je trouve qu’un séjour à l’ombre lui fait du bien, car il appréciera d’autant tous ceux qui y sont passés (certains y sont même morts). Oeil pour oeil, dent pour dent. S’il avait regretté son attitude passée, où il se foutait comme une guigne de l’état de droit, peut-être pourrions nous nous mobiliser pour faire quelque chose pour lui, mais là il ne manque pas de culot de dire qu’on ne doit pas lui faire, ce… Lire la suite
@ BAMCE ,
GOOGA MAA !
Pauvre Kassory .
RIEN , ne t’ empêche d ‘ être à la barre .
HOSSNI MOUBARAK l’ a fait DANS SON LIT D’HOPITAL transporté à l’ hôpital.
En PULAR nous disons
» ko keri ki seghoudha soppouma « .
Tu préfères » mourir libre que de vivre indigne » !
En MANINKAKAN nous disons
» Sou te monebo » .
HUMAN NATURE IS SURVIVAL !
Réfléchis-y !
On a tous intérêt à ce que la Guinée devienne un État de droit. Malgré que je n’apprécie pas ce monsieur compte tenu de sa gestion et des propos et attitudes depuis 2010, je pense qu’il a droit à un procès juste et équitable comme tous les Guinéens .
KASSORY qui chiale et qui nous parle de droits humains en Guinée après toute la violence de qu’il a fait subir aux gens de l’axe et en l’occurrence à une seule Communauté, lui et son mentor Alpha Satan Condé ? Il doit avoir la mémoire du poisson rouge ou être de mauvaise foi,ça fait 15 ans (et même depuis l’indépendance de la Guinée que ma communauté subit la violence de l’état et des extrémistes MALINKE. Ça me donne la rase… Oui la justice de DOUMBOUYA est téléguidé et qu’il s’agit d’une parodie de justice (y compris le procès des événements… Lire la suite