Dans une déclaration commune rendue publique ce vendredi 31 mai 2024, les centrales syndicales de la ont exprimé leur profonde préoccupation par rapport à la décision des autorités guinéenne du 22 mai 2024 retirant les agréments des principaux groupes de presse du pays. LSelon les sndicats, ces agréments doivent êtres purement et simplement restitutués pour éviter à la Guinée une nouvelle crise sociale aux conséquences imprévisibles.
« Cette question est d’autant préoccupante qu’elle reste porteuse de nombreuses conséquences dramatiques aussi bien sur le plan social qu’humanitaire. Aussi, elle porte un coup dur au droit des citoyens de s’exprimer et d’être informés, ce qui est une violation flagrante et inacceptable de la charte de la transition et des engagements internationaux auxquels la République de Guinée a librement souscrit », déplore la classe ouvrière.
Le mouvement syndical considère que ce retrait qu’il qualifie d’illégal entraine de facto une suppression d’emplois mettant au chômage près d’un millier de travailleurs avec tout ce que cela entraine comme conséquences sur la vie de ces employés et de leurs familles respectives.
« Cette perte massive d’emplois constitue une autre violation du code du travail de la République de Guinée », dénoncent Amadou Diallo et ses camarades. Pour eux, cette décision est la suite logique de « l’acharnement des pouvoirs publics envers les professionnels de la presse privée dans notre pays .
Le mouvement syndical soutient inconditionnellement et sans réserve la lutte légale et légitime du SPPG pour la défense des intérêts moraux et matériels des professionnels de la presse de Guinée et exige du gouvernement la restitution pure et simple des agréments et licences aux différents médias affectés en vue d’éviter à notre pays une nouvelle crise sociale aux conséquences imprévisibles », a lancé Amadou Diallo et ses camarades syndicalistes
Nous y reviendrons
Gbassikolo.com
Il manque le déclic, ça va venir… lol
@TAG
Je suis sûr que DOUMBOUYA et son CNRD attendent qu’il y ait des manifs ou un petit mouvement pour dissoudre les partis politiques et interdire toute organisation comme ce qui s’est passé au Mali.
Tant que la passivité des Guinéens ne cessent pas, ces criminels vont faire ce qu’ils veulent
BAMCE,
Tu as tout compris, mon frere. A moins de prendre les armes pour chasser ces braqueurs, il nous faut tous mettre de cote nos petites divisions et faire face a la menace commune que represente ce legionnaire francais et sa petite bande de predateurs.
Il faut une convergence de lutte entre syndicats, société civile, journalistes et les politiques pour chasser ces criminels, despotes et sanguinaires