Quand les étudiants des meilleures universités du monde, comme Oxford, paient des jeunes au Kenya pour écrire de façon anonyme leurs travaux d’études… Plus de 40 000 Kényans travaillent pour cette industrie de l’ombre qui génère, selon la réalisatrice britannique Eloïse King, un chiffre d’affaires de plusieurs milliards d’euros ! Pour son enquête, « Les Érudits de l’ombre », elle a anonymisé les visages de ses interlocuteurs avec l’aide de l’intelligence artificielle. Entretien au Fipadoc, le grand festival international du film documentaire à Biarritz.
Source: RFI Afrique
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