Dans toute démocratie , il faut que l’on évalue avec objectivité les réalisations de ceux auxquels le peuple confie sa destinée . Il arrive souvent que les institutions formelles devant le faire en manquent. C’est le cas en Guinée. Ainsi, les interprétations diverses peuvent abonder. Le citoyen, peu informé et ignorant les implications des choix du dirigeant, pourrait être désinformé et même intoxiqué. Pendant cette campagne électorale, les différents candidats et leurs partisans se livrent à la guerre des chiffres et des mots .Ses challengers décrivent le bilan du président sortant et candidat à sa propre élection de globalement négatif. Ses partisans et admirateurs irréductibles, eux, disent qu’il a fait mieux que ses antécesseurs réunis…
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Notre méticuleuse analyse du bilan quinquennal du président Alpha Condé , nous conduit à dire qu’il n’est ni globalement négatif ou encore globalement positif , mais qu’il est contrasté , qu’il est assez bien . Comparé à celui de ses prédécesseurs, son bilan n’est pas indéfendable dans nombre de domaines. Comparé au bilan de certains de ses voisins de la sous-région , le bilan d’Alpha Condé , pourrait être décrit comme médiocre . Quel est l’élément le plus décisif dans ce référentiel spatiotemporel ? La géographie ou l’histoire , celle à nous , notre itinéraire ?
Donner la primauté à la géographie et conclure que le bilan d’Alpha est médiocre , reviendrait à supposer que les pays considérés, pour arriver à une telle conclusion impertinente , avaient les mêmes dotations initiales et les mêmes contraintes . Ce qui serait un argument fallacieux . Ne prendre en considération que l’antériorité comme contrainte majeure et refuser toute comparaison spatiale du bilan du candidat à sa propre réélection serait aussi une bêtise . Aucun pays ne peut grandir sans la comparaison intelligente et objective . Les pays se livrent concurrent pour se faire des parts belles des IDE , élever le niveau de vie de leur citoyen et avoir la voix dans le monde .
La conclusion , la nôtre , est d’une objectivité à nulle pareille . Je n’ai aucun agenda politique , ne cherche l’amitié ou la sympathie de personne , mais je m’efforce à être un bon citoyen qui met le pays au dessus de tout , à travers l’objectivité . Notre analyse est impartiale et globale. Elle tient compte de nombre de contraintes dont : le temps , les ressources financières , l’antériorité et puis l’héritage du dirigeant . Il aurait pu faire mieux , mais ses acquis ne sont pas négligeables . Il n’est pas mitigé , le bilan d’Alpha Condé , mais assez bien, au vu des contraintes susmentionnés . »
Bilan du président Alpha Condé(pdf)
Ibrahima SANOH,
Citoyen guinéen .
Dans toute démocratie , il faut que l’on évalue avec objectivité les réalisations de ceux auxquels le peuple confie sa destinée . Il arrive souvent que les institutions formelles devant le faire en manquent. C’est le cas en Guinée. Ainsi, les interprétations diverses peuvent abonder. Le citoyen, peu informé et ignorant les implications des choix du dirigeant, pourrait être désinformé et même intoxiqué. Pendant cette campagne électorale, les différents candidats et leurs partisans se livrent à la guerre des chiffres et des mots .Ses challengers décrivent le bilan du président sortant et candidat à sa propre élection de globalement négatif. Ses partisans et admirateurs irréductibles, eux, disent qu’il a fait mieux que ses antécesseurs réunis . Notre méticuleuse analyse du bilan quinquennal du président Alpha Condé , nous conduit à dire qu’il n’est ni globalement négatif ou encore globalement positif , mais qu’il est contrasté , qu’il est assez bien . Comparé à celui de ses prédécesseurs, son bilan n’est pas indéfendable dans nombre de domaines. Comparé au bilan de certains de ses voisins de la sous-région , le bilan d’Alpha Condé , pourrait être décrit comme médiocre . Quel est l’élément le plus décisif dans ce référentiel spatiotemporel ? La géographie ou la l’histoire , celle à nous , notre itinéraire ?
Donner la primauté à la géographie et conclure que le bilan d’Alpha est médiocre , reviendrait à supposer que les pays considérés, pour arriver à une telle conclusion impertinente , avaient les mêmes dotations initiales et les mêmes contraintes . Ce qui serait un argument fallacieux . Ne prendre en considération que l’antériorité comme contrainte majeure et refuser toute comparaison spatiale du bilan du candidat à sa propre réélection serait aussi une bêtise . Aucun pays ne peut grandir sans la comparaison intelligente et objective . Les pays se livrent concurrent pour se faire des parts belles des IDE , élever le niveau de vie de leur citoyen et avoir la voix dans le monde .
La conclusion , la nôtre , est d’une objectivité à nulle pareille . Je n’ai aucun agenda politique , ne cherche l’amitié ou la sympathie de personne , mais je m’efforce à être un bon citoyen qui met le pays au dessus de tout , à travers l’objectivité . Notre analyse est impartiale et globale. Elle tient compte de nombre de contraintes dont : le temps , les ressources financières , l’antériorité et puis l’héritage du dirigeant . Il aurait pu faire mieux , mais ses acquis ne sont pas négligeables . Il n’est pas mitigé , le bilan d’Alpha Condé , mais assez bien, au vu des contraintes susmentionnés . »
Bilan du président Alpha Condé(pdf)
Bilan du président Alpha Condé
Ibrahima SANOH,
Citoyen guinéen .
– See more at: http://guineeinfos.org/analyse-du-bilan-quinquennal-du-president-alpha-condepar-ibrahima-sanoh/#sthash.tiWPb651.dpuf
Dans toute démocratie , il faut que l’on évalue avec objectivité les réalisations de ceux auxquels le peuple confie sa destinée . Il arrive souvent que les institutions formelles devant le faire en manquent. C’est le cas en Guinée. Ainsi, les interprétations diverses peuvent abonder. Le citoyen, peu informé et ignorant les implications des choix du dirigeant, pourrait être désinformé et même intoxiqué. Pendant cette campagne électorale, les différents candidats et leurs partisans se livrent à la guerre des chiffres et des mots .Ses challengers décrivent le bilan du président sortant et candidat à sa propre élection de globalement négatif. Ses partisans et admirateurs irréductibles, eux, disent qu’il a fait mieux que ses antécesseurs réunis . Notre méticuleuse analyse du bilan quinquennal du président Alpha Condé , nous conduit à dire qu’il n’est ni globalement négatif ou encore globalement positif , mais qu’il est contrasté , qu’il est assez bien . Comparé à celui de ses prédécesseurs, son bilan n’est pas indéfendable dans nombre de domaines. Comparé au bilan de certains de ses voisins de la sous-région , le bilan d’Alpha Condé , pourrait être décrit comme médiocre . Quel est l’élément le plus décisif dans ce référentiel spatiotemporel ? La géographie ou la l’histoire , celle à nous , notre itinéraire ?
Donner la primauté à la géographie et conclure que le bilan d’Alpha est médiocre , reviendrait à supposer que les pays considérés, pour arriver à une telle conclusion impertinente , avaient les mêmes dotations initiales et les mêmes contraintes . Ce qui serait un argument fallacieux . Ne prendre en considération que l’antériorité comme contrainte majeure et refuser toute comparaison spatiale du bilan du candidat à sa propre réélection serait aussi une bêtise . Aucun pays ne peut grandir sans la comparaison intelligente et objective . Les pays se livrent concurrent pour se faire des parts belles des IDE , élever le niveau de vie de leur citoyen et avoir la voix dans le monde .
La conclusion , la nôtre , est d’une objectivité à nulle pareille . Je n’ai aucun agenda politique , ne cherche l’amitié ou la sympathie de personne , mais je m’efforce à être un bon citoyen qui met le pays au dessus de tout , à travers l’objectivité . Notre analyse est impartiale et globale. Elle tient compte de nombre de contraintes dont : le temps , les ressources financières , l’antériorité et puis l’héritage du dirigeant . Il aurait pu faire mieux , mais ses acquis ne sont pas négligeables . Il n’est pas mitigé , le bilan d’Alpha Condé , mais assez bien, au vu des contraintes susmentionnés . »
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Bilan du président Alpha Condé
Ibrahima SANOH,
Citoyen guinéen .
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Donner la primauté à la géographie et conclure que le bilan d’Alpha est médiocre , reviendrait à supposer que les pays considérés, pour arriver à une telle conclusion impertinente , avaient les mêmes dotations initiales et les mêmes contraintes . Ce qui serait un argument fallacieux . Ne prendre en considération que l’antériorité comme contrainte majeure et refuser toute comparaison spatiale du bilan du candidat à sa propre réélection serait aussi une bêtise . Aucun pays ne peut grandir sans la comparaison intelligente et objective . Les pays se livrent concurrent pour se faire des parts belles des IDE , élever le niveau de vie de leur citoyen et avoir la voix dans le monde .
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Bilan du président Alpha Condé(pdf)
Bilan du président Alpha Condé
Ibrahima SANOH,
Citoyen guinéen .
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