C’est une longue effusion lyrique et poétique à la fois sur mon exil q…, que je propose dans cet opuscule à paraitre : en tout et pour tout sept chapitres, quatre-vingt-dix pages Word sur de sinueuses pérégrinations d’immigrants à M… principalement, que le récit à la première personne atteste (comme il en faut bien des preuves !)…
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En amont, aucune promesse de tenir en haleine le lecteur à travers de truculentes aventures, ni en aval la certitude de le faire sombrer dans une hargne picaresque, et fulminer contre le Q… ; voire nourrir un dédain contre l’exil. Le récit — autobiographique et véritable aventure humaine — s’évertue à moins de romance pour plus de réalisme ; en ne clamant jamais faire dans le classique des maitres du genre (Flaubert, Stendhal, etc.).
Pas plus que l’écrit ne devrait exister pour soi, c’est le vécu qui, de mon avis, impose rythme et tonalité, conditionne l’état d’âme du scribe. Le romantisme fut ! Bénis soient les précurseurs Rousseau et Chateaubriand, et à présent leurs continuateurs.
Le souci d’objectivité tout au long du périple littéraire, constant, se traduit par le parti pris de la narration que j’indique d’entrée. En martelant haut et fort le choix délibéré de faire œuvre autobiographique exclusivement centrée sur le moi, le je que je maitrise; plutôt que les hauts et bas des protagonistes du récit, compagnons de la traversée, seconds rôles non moins importants toutefois.
D’emblée je ne revendique point une œuvre académique, à fortiori un roman. Sans néanmoins renier mes influences littéraires (Monenembo, Jack London, Maupassant, R. Wright, V. Hugo, Danny Laferrière, E. Allan Poe, Chateaubriand, Flaubert, etc.). L’œuvre se rangerait plus dans le rayon essai fortement teinté d’autobiographie, sans le moindre penchant insurrectionnel ou mélancolique au regard des épreuves de l’exil traversées.
Quoi qu’il en soit, le dernier jet de mes gestations intellectuelles étant couchées noir sur blanc, je n’ai guère plus de choix à présent que d’accoster un éditeur, et boire ma prose jusqu’à la lie !
Bref, plus édifiant, on lira en synopsis :
Mêlant le récit autobiographique au regard critique propre à l’essai, Oury Baldé, dans cet ouvrage, son premier, relate son parcours d’immigrant au Q… et par ricochet celui d’hommes et de femmes, immigrants tout comme lui, rencontrés au cours de ses pérégrinations à M…
Au-delà de tribulations d’exilants rapportées, ici, il s’agit, une fois de plus, ni plus ni moins de l’intégration des immigrants au Q…
Cet article ainsi que plusieurs autres de mes écrits sont consultables sur ma page Facebook, L’amphigouri de Oury, au lien suivant : https://www.facebook.com/www.lamphigourideoury/
Oury Baldé