La crise s’agrave au sein de l’Institution en charge des élections en Guinée. Après le vice-président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) -issu de l’UFDG, principal parti de l’opposition- c’est au tour de M. Alhassane Makanéra – issu des rangs de l’Union des forces républicaines (UFR)- à se retirer du processus lié à l’organisation des élections législatives. Tous deux denoncent la conduite notamment des opérations d’enrôlement des électeurs.
« – révision du fichier électoral, audit du fichier électoral révisé, correction des anomalies, évaluation sur le terrain des citoyens laissés pour compte pour leur donner la possibilité de s’enrôler ; certifier le fichier final ;– élaborer le chronogramme des élections après la finalisation d’un fichier électoral consensuel« .
Pour de nombreux observateurs, cet autre retrait risque d’impacter davantage négativement le fonctionnement de l’institution électorale guinéenne à seulement 60 jours du scrutin législatif. D’autant plus que M. Makanéra, étant Directeur du département Juridique de la CENI, est le président de la « commission réception des candidatures ».
L’opposition ne doit pas y aller avec ce fichier et même avec SK-c’est une marionnette du pyromane AC, quoi qu’on fasse pour se débarrasser d’AC il faut utiliser la force. C’est le seul moyen. C’est une tortue, il faut chauffer le dernière….