Dans un communiqué qui vient de parvenir à notre rédaction, la Direction Nationale de l’Administration Pénitentiaire et de la Réinsertion a justifié les raisons de la révocation du régime de semi-liberté surveillée accordé à Abdoulaye Bah. Selon le communiqué, cette révocation fait suite à la violation des termes et conditions du ce régime, notamment des « appels à la désobéissance civile et des atteintes aux Institutions de la République ».
Ci-dessous, copie dudit communiqué :
Manifestement, Abdoulaye Bah préfère retourner en prison…S’il croit qu’il pourra ainsi passer pour un martyr….
Ah oui pauvre guinée. Un simple gardien de prison peut libérer ou arrêté un citoyen. Je laisse le temps aux juristes d’interpréter ça.