Devoir de mémoire – Émile Cissé : tortionnaire, complice et victime de Sékou Touré. (par Ourouro Bah )

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Introduction.Depuis bientôt deux ans, Radio Fréquence Gandal et Pottal-Fii-Bhantal Foutah-Djallon tiennent des émissions bi-hebdomadaires d’information, en pular et en français, sur l’histoire contemporaine de la Guinée. Ces émissions poursuivent plusieurs objectifs.  

·         Réhabiliter les victimes innocentes du PDG en décryptant les mécanismes de la terreur.

·         Éclairer les guinéens sur les pratiques politiques de la clique familiale de tortionnaires qui noyauta le PDG, usurpa la cause de la révolution africaine de l’après indépendance, opposa les ethnies de la nation dans une suite sanglante de complots fictifs et de règlements de comptes.

·         Dissiper la propagande qui a conditionné les esprits de plusieurs jeunes par une fausse narration, notamment sur les circonstances de l’indépendance, les raisons de la répression et de la régression de la Guinée.

Avec des témoignages de survivants et de membres des familles de victimes ainsi que des écrits, les émissions s’étoffent progressivement comme une source de données sur la sombre époque du régime clanique de Sékou Touré.

Le concours de toutes les bonnes volontés est demandé pour enrichir ces données, corriger les erreurs et rectifier les distorsions afin d’en faire une base de documents en même de restaurer notre histoire tronquée et travestie par la propagande du PDG.

L’un des projets envisagés à moyen terme, est la publication d’un livre basé sur les données recueillies.

Émile Cissé – symbole et révélation

Le 12 Juillet 2018, l’émission en Français portait sur l’un des tortionnaires les plus sinistres et des plus excentriques du PDG : Émile Cissé (voir Note 1 pour le lien de l’émission sur YouTube).

Émile Cissé fut actif sur tous les fronts de la provocation, de la répression et de la dégradation morale et sociale que mena le PDG.  Il symbolise les motivations des menées macabres des membres et proches de la famille de Sékou Touré et de Andrée Touré : désirs irrépressibles de vengeance, une intelligence dédiée à la destruction des piliers de la société, une hargne que le succès ne pouvait tamiser, le tout baignant dans un total manque de scrupules. Entre Émile Cissé et Sékou Touré, la similarité d’origine et d’état d’esprit est frappante. Les deux individus ne pouvaient qu’être complices.

Avant de le sacrifier, Sékou Touré donna carte blanche à Émile Cissé. Ce dernier pu ainsi donner libre cours à ses désirs excentriques, ses perversions et sa cruauté. La connivence entre Sékou Touré et Émile Cissé met à nue les mécanismes répressifs dignes de la mafia du PDG. Elle révèle l’imposture que fut la prétendue révolution du PDG ainsi que la monumentale escroquerie morale sur lesquelles la clique au pouvoir charpenta ses crimes.

Enfance et famille : les racines de la haine

Issu d’un commerçant libanais qui vivait à Mamou et de sa domestique originaire de Moriya, Émile Cissé était un enfant naturel. Le libanais refusa de reconnaitre l’enfant et l’ignora. Émile fit tout pour se faire adopter par son père.  Quand il grandit, aidé par les militants du PDG, il intenta un procès à son géniteur pour se faire reconnaitre. Il perdit le procès. Le reste de sa vie sera marqué par ce rejet.  Il prendra le nom de sa maman. Il sera accepté à William Ponty d’où il sortit pour servir comme instituteur à Thiès (Sénégal).

Émile vecut son enfance sans famille établie comme une tare. Comme tous les tortionnaires de son acabit, son parcours est sombre. Émile contribuera à renforcer le flou sur sa vie et ses qualifications. Il accusa l’almamy du Foutah de lui avoir refusé une bourse d’études en France. Néanmoins, il prétendait y avoir étudié et fréquenté plusieurs facultés (lettres, mathématiques, droits etc.) sans acquérir un diplôme.    Il n’y a pas de données sur les universités qu’il fréquenta ou les postes qu’il occupa à son retour en Guinée avant d’être nommé comme principal de collège à Kankan puis à Labé. Émile se déclarera professeur de mathématiques, homme de lettres et dramaturge.   Il écrivit deux romans tous deux marqués par les ressorts de son enfance. Ensuite, il mit aussi en scène une pièce de théâtre.  

Faralako– Le premier roman de Émile Cissé fut préfacé par Saifoulaye Diallo qui était maire de Mamou en 1957, sous la loi-cadre. Le roman est Campé dans les années 50. Il traite des rapports entre évolution et tradition. Il évoque aussi la question des métis, abandonnés sans ressources par leurs pères blancs à leurs mères africaines. Le second roman, Assiatou de Septembre, est une histoire bizarre d’amour entre une femme peule et un fonctionnaire soussou muté au Niger. La pièce de théâtre « Et la nuit s’illumine » fut mise en scène en 1967. C’était une satire contre le colonialisme qui sera primée au festival d’Alger. Elle fut écrite conjointement par Coumbassa Saliou et Baldé Bobo Companya. Comme metteur en scène, Émile mobilisa tous les moyens du collège de Labé dont il était le principal. Il enrôla des filles et des garçons dans un internat. La plupart de ces filles seront engrossées. C’était le prélude à son centre de Kalédou.  Un professeur belge du nom de Westrepen participa à la pièce. Mais à Alger il fut interdit de jouer du fait qu’il était blanc !  Il sera accusé de complot en 1971.  Arrêté et emprisonné au Camp Boiro, il mourra de suicide selon la version officielle.

L’alliance avec Sékou Touré 

À son retour en Guinée, Émile fit de Sékou son « père » et protecteur. De son coté, Sékou nota le manque de scrupules d’Émile Cissé. Il en fera son principal agent dans deux villes qu’il voulait mettre sous coupe réglée : Labé et Kankan. Il faut noter que dans ces deux villes, Émile succédait à Diané Lansana qui s’y était illustré par sa cruauté : à Kankan par le massacre des aveugles en 1960 et à Labé par a répression des élèves en 1961.

Officiellement Émile n’était qu’un simple principal de collège. Mais, jouissant de la protection de Sékou, il avait des pouvoirs illimités et régnait en maître absolu. Il créa un réseau d’espions pour surveiller tout ce qui se passait. Il révéla du sadisme et un désir de domination et devint une phobie populaire. Il confisquait impunément les biens des commerçants. Il empruntait des voitures d’hommes d’affaire et les rendait quand bon lui semblait.

Fabricant de complots.

Émile Cissé joua un rôle central dans la fabrication du « complot » qui emporta les Kaman Diaby, Fodéba et Diawadou en 1969. Lors d’une discussion avec des paras du camp de Labé (Tierno Mouctar, Mbengue, Coumbassa etc..) dans le troquet de Dian Djiba, Émile prétendit entendre le commandant Mbengue dire qu’ils vont « cravacher » Sékou Touré à sa prochaine visite.  

Émile savait que les populations de Labé étaient excédées par ses comportements sadiques et que Sékou était ulcéré de s’y être fait huer en public en 1967. La nuit de cette prétendue conversation, Émile conduisit personnellement sa 2CV de Labé à Conakry pour rendre compte à Sékou Touré. Une commission d’enquête dirigée par Magassouba Moriba fut dépêchée à Labé pour interroger les militaires. Elle conclura que rien ne pouvait justifier l’arrestation des officiers. Non satisfait des conclusions, une autre commission dirigée par Diané Lansana fut dépêchée par Sékou Touré. Elle conclut aussi que les allégations d’Émile Cissé n’avaient aucune substance.  

Toutefois, Sékou était hanté par un coup d’état militaire. En 1966 et en 1968 l’armée avait pris le pouvoir au Ghana et au Mali. Pour parer à une telle éventualité en Guinée, Sékou Touré avait introduit la hiérarchie du parti dans les camps militaires et créé un état-major de milice populaire. Il redoutait particulièrement les officiers du camp de Labé qui étaient des cadres professionnels formés en Allemagne. Les accusations de Émile Cissé ne pouvaient tomber à meilleur point. Sékou et Ismaël  donnèrent l’ordre de faire arrêter les officiers discrètement en prétendant qu’ils étaient convoqués pour une réunion à Conakry.  Ils furent accompagnés lors du transfert par l’inspecteur de police, Mamadou Boiro. Le mystère reste entier sur les circonstances réelles de la mort de l’inspecteur dont le nom symbolise la féroce répression du PDG.

Note : La version officielle prétend que les parachutistes larguèrent Mamadou Boiro de l’avion et que les pilotes firent diversion avec une excuse de manque de carburant pour un atterrissage forcé dans le village de Maléah près de la frontière avec le Mali. Les populations auraient alors maitrisé les parachutistes. Cette version souffre de sérieuses lacunes. Le corps de Mamadou Boiro n’a jamais été retrouvé pour déterminer les causes exactes de sa mort. Les rapports faits par les deux pilotes indiquent que les paras « se sont battus comme des diables. ». Il est alors étonnant que des populations désarmées aient pu venir à bout des parachutistes commandos déterminés à sauver leur vie sans qu’on ait fait état de blessés ou de morts.  Dès leur transfert à Conakry, les parachutistes furent exécutés – sans même les fausses dépositions coutumières. Enfin, il y a des rumeurs qui indiquent que les parachutistes furent arrêtés avec l’aide de l’armée malienne et la complicité du président Moussa Traoré. 

Architecte de la « cinquième colonne », tortionnaire et assassin.

Dr. Kozel était un dentiste tchèque. Il fit la connaissance de Émile à Kankan.  Après le débarquement du 22 Novembre 1970, il expliqua à Émile Cissé comment le régime pourrait justifier les purges dans les rangs de l’administration avec le concept de la CINQUIÈME COLONNE. Émile partagea l’idée avec Sékou qui donna son accord pour sa mise en œuvre. Dr. Kozel fut transféré à Conakry. Il fut hébergé dans la maison de l’industriel libanais William Gemayel qui était emprisonné au camp Boiro.  Il vida la cave de vins de Gemayel. Il entreprit la rédaction des aveux à faire signer sous la torture par les accusés cinquième colonne.  Mieux, pour garantir la vraisemblance de l’affaire, on incarcéra le dentiste au camp Boiro. Il put ainsi poursuivre plus efficacement sa tâche d’assistant de la Commission des interrogatoires.  (Note 2 –Kaba 41).

En 1971 Émile est nommé gouverneur de Kindia. Pendant 8 mois, comme membre tout-puissant de la Commission des interrogatoires, il sévit au camp Kémé Boureïma. Il ordonna et supervisa personnellement les tortures infligées aux détenus du camp.  En même temps, Sékou Touré tirait parti des talents de metteur en scène d’Émile pour donner de la vraisemblance aux « aveux » des accusés. Émile devint l’auteur attitré des lettres soi-disant écrites de l’étranger par des contre-révolutionnaires qui furent utilisées pour « dénoncer » de nombreux cadres guinéens.

La politique de l’assouvissement des instincts pervers

Le métier d’enseignant était pour Émile un moyen d’assouvir sa pédérastie et ses obsessions sexuelles. À Kankan et à Labé, il engendra un nombre considérable d’enfants naturels avec les collégiennes dont il avait la charge.

Il s’enticha d’une jeune adolescente de Popodra du nom de Djiwoun Kalé. Il la demanda en mariage. Bien entendu la famille ne pouvait s’y opposer. Quand Djiwoun Kalé eut le brevet, Émile refusa qu’elle aille au lycée de Labé comme c’était la coutume à l’époque. Il créa au collège une classe de 10 ème dont elle était la seule élève.  

Les populations de Labé étaient excédées par les abus d’Émile Cissé, en particulier sa sexualité débridée dont des adolescentes à peines pubères était victimes.  Beaucoup de jeunes filles avaient eu des grossesses indésirées. En 1967, Sékou Touré tint une conférence de « bouche ouverte » à Labé.  Plusieurs parents portèrent des plaintes publiques. En réponse, Sékou déclara qu’il va faire le baptême de tout enfant que Émile va engendrer.  Poussant le cynisme à son comble, il traita publiquement de menteur son ancien bienfaiteur Samba Cissoko, un des premiers militants du RDA à Labé chez qui Sékou Touré logeait. Émile Cissé avait licencié la fille de ce dernier de l’école parce qu’elle avait refusé ses avances. Le public outragé hua Sékou Touré.  Samba Cissoko ne survivra pas au fait d’avoir été traité de menteur en public. Il mourra quelques jours après la conférence.

De tout-puissant, Émile devint intouchable. Il s’empara de la presque totalité de la dotation de matériel de construction de la région de Labé pour aménager une prétendue « cité socialiste » sur l’emplacement de l’ancienne école primaire secondaire de Popodra.  La cité fut nommée Kalédou, inspiré du nom de son épouse, Djiwoun Kalé. C’était en réalité un lupanar. Émile Cissé y avait son harem de jeunes et belles adolescentes. On les appelait les Amazones. Elles constituaient sa « garde rapprochée ». Elles paradaient en ville en tenues militaires, avec des armes. Après l’arrestation de Émile, elles seront emprisonnées à Kindia. Une des adolescentes accoucha d’un enfant d’Émile Cissé quelques jours avant son arrestation. L’enfant ne survivra pas. Deux autres adolescentes du groupe étaient des sœurs. L’une n’était âgée que de 12 ans. Une de ces jeunes filles est décédée il y a quelques mois. Les autres vivent en Guinée et en France.  

Le conflit avec la famille régnante et la fin de Émile Cissé

Comme Émile devenait puissant, la faction de tortionnaire de la famille de Sékou Touré prit ombrage.  D’habitude divisée en clans pro-Sékou et pro-Andrée, la « famille régnante » fit une sainte alliance pour sacrifier Émile Cissé. On l’accusa de vouloir le pouvoir et de planifier de de faire arrêter tout le Bureau politique national. On répandit la rumeur qu’il voulait faire arrêter Sékou Touré lui-même !  

Un matin de septembre 1971, le commandant en chef des camps de détention, Siaka Touré, vint en personne à la forteresse de Kindia annoncer aux détenus : Émile, je le cueille ce soir !

Les victimes de Émile qui furent torturés sur ses ordres n’en revenaient pas ! « Émile fut placé dans une cellule individuelle. Siaka autorisa ces anciennes victimes à venir tambouriner sur sa porte, à chanter et à danser pour exprimer leur joie. L’une d’elles composa même pour la circonstance une chanson en peul affirmant que le PDG dit toujours la vérité, il ne ment pas ! Puisque Émile est là. Ces prisonniers croyaient en effet que les mensonges d’Émile étaient à l’origine de leur arrestation et que Sékou Touré n’était au courant de rien. Ils espéraient naïvement que de la mise à l’écart de leur bourreau, allait jaillir la vérité qui les innocenterait. Les débordements étaient tels que, dès le lendemain, les autorités de Kindia prirent peur et transférèrent Cissé au camp Boiro, à Conakry.

Lors de l’interrogatoire d’Émile, on fit asseoir contre le mur, sur deux rangées face à face, ses anciens travailleurs du centre de Kalédou. À chacun on donna une lanière de cuir et à toute question à laquelle Émile ne voulait pas répondre ou donner une réponse satisfaisante, Ismaël ordonnait : Allez-y ! Frappez ! Ces hommes qui avaient subi la rigueur et l’arbitraire de leur directeur trouvèrent là l’occasion rêvée pour se venger. La victime devenait à son tour bourreau, avec plaisir.

Arrivé à Boiro, Émile Cissé demanda crayon et cahier pour lui permettre de s’expliquer sur la situation. Comme pour toutes les décisions importantes à prendre dans les camps guinéens, on sollicita l’avis du Responsable Suprême, qui ordonna de fournir au prisonnier ce qu’il demandait. Émile Cissé se mit à écrire. Il remettra son livre, intitulé Trilogie de la Révolution au Comité révolutionnaire. N’empêche, Cissé fut abondamment torturé pour l’amener à signer ses dépositions, qui couvrent 300 pages dactylographiées.

Il mourut dans la nuit du 13 mars 1974, à l’issue d’une diète noire particulièrement cruelle et spécialement aménagée pour le faire souffrir : 113 jours de demi-diète, de façon à prolonger ce redoutable supplice et à faire souffrir l’homme le plus longtemps possible. Il fut enterré auprès de nombre de ses victimes, au charnier de Nongo, l’ossuaire de la Révolution. » (Note 2 –Kaba 41).

Ourouro Bah

Note 1 :

Le lien sur l’émission de Émile Cissé est : https://www.youtube.com/watch?v=9x1iGR3ppTM

Elle inclut un témoignage de Petit-Barry qui fut interrogé par Émile qu’il connaissait depuis leur enfance commune à Mamou. La plupart des autres émissions peuvent être trouvées sur YouTube avec les mots clés : Gandal, Pottal, camp Boiro, histoire de la Guinée, tortures, aveux etc.

Note 2: Kaba 41

https://www.campboiro.org/bibliotheque/kaba41/cabel.html#filsCrime

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Nfamara
12 août 2018 15:51

Little Shamless Deen, minable misérable pseudo_intellectuel, la passion a nettement altérée votre sens de discernement, le parrainage à l’ONU relève des membres permanents du Conseil de sécurité.La France, détentrice d’un droit de veto était opposée à l’admission de la Guinée, il aura fallu le soutien de l’Oncle Sam pour que le pays soit admis 82eme membre de l’organisation.Vous avez le don de la sottise, vulgaire semeur de polémiques. Trêve de spéculations, mon barbecue dominical ne s’y prête guère…… Emancipate yourself from mental slavery dumb dude.

Shams Deen
Shams Deen
12 août 2018 10:13

Monsieur
C’est obligatoire de passer des arguments bidons aux mensonges crûs.
La vérité de l’ONU veut que la guinée qui a eu son indépendance le 02octobre 1958 ait été parrainée par L’Irak et le Japon .
Maintenant vous étés bien libre de faire de ces deux pays les USA.
Menteur un peu de honte monsieur.

Nfamara
Nfamara
8 août 2018 16:08

Quel communisme chimérique que celui du régime tribalo tyrannique de la première république ! Des prétendus communistes friands de luxes qui roulent dans les Mercedes rutilantes et se soignent dans les établissements sanitaires occidentaux. Contrairement aux inepties distillées par les héritiers de la dynastie des criminels du Pdg, il n’y a jamais eu rupture definitive entre la Guinée et la métropole. Pechiney, Jean Lebfevre, Cochery Bourdin entre autres intérêts Français ont toujours évolué sans obstacles. Fruit de l’habileté et des prouesses diplomatiques de Karim Bangoura, OFAB/CBG demeure la plus grande pourvoyeuse de l’État en devises. En réalité, n’eut été son… Lire la suite

shams deen
shams deen
6 août 2018 14:52

@ Baren j’ai compris ce que vous voulez dire dans vos écrits ,seulement voila que les choix de feu président Sekou se révèlent toujours pertinents et clouent en même temps rendent impossible a ses détracteurs des justificatifs pour les combats qu’ils ont fait a lui et continuent via des nihilistes de menés contre lui. Il a choisit la CHINE ,voila que les USA sont aux pieds de la même CHINE (ils doivent aux communistes pas moins 1500 Milliards de dollars US en Bons de trésor). Peut être qu’il aurait mieux préserver cela chez nous en travaillant dans la discipline c’est… Lire la suite

Baren SOUMAH
Baren SOUMAH
5 août 2018 22:56

@ Youssouf Bangoura,
J’ai compris. Sans rancune, et la prochaine discution sur AST.
@ Shams Deen,
La discution portait sur AST et son regime (1958-1984). Je savait deja que vous n’y connaissez pas grand chose mais maintenant ca devient vraiment embarassant.

shams deen
shams deen
5 août 2018 15:44

@ Youssouf
Je t’envoi encore ce lien de PESNOT sur la Cote d’ivoire de houffoueit
https://www.youtube.com/watch?v=7LpVeNow7lM

shams deen
shams deen
5 août 2018 02:35

@ Youssouf L’argumentaire « communiste » concernant le choix « obligé » du President Sékou Toure de coopérer avec les pays dits communistes ne pourra pas tenir aujourd’hui vu que la grande France et autres sont obliger à date dérouler le tapis rouge pour les communistes chinois qui ont meme droit à une sorte de police dont le rôle est de les protéger pendant leurs voyages en France (les touristes chinois doivent etre protéger). Le seul regret que la GUINEE pourrait avoir est d’avoir la CHINE RICHE en l’absence du President SEKOU qui certainement aurait pu tirer meilleure partie de la coopération avec le… Lire la suite

Nfamara
Nfamara
4 août 2018 19:04

Shamless Deen,prière de ne pas éluder mes interrogations. Votre vision unidirectionnelle a altérée votre sens de jugement, vous confoderles règles aux exceptions, l’essentiel aux accessoires. Je suggère à mon cher Ourouro de nous communiquer le lien discours fasciste ténu par le fama en Août 1976,afin de mettre un terme definitif aux allégations mensongères des héritiers de la dynastie des criminels de sang.Votre entreprise machiavélique de réhabilitation de votre idole de despote sera vouée à un échec certain…

K. Ba
K. Ba
4 août 2018 15:04

@Camara
Ton aveuglement ethnique te perd. Les noms des auteurs déterminent tes réactions qui n’ont ni queue ni tête.
J’ai toujours considéré Cellou Dalein, comme membre imminent de la corruption qui ronge notre pays. Je l’ai toujours dénoncé. Lis mes postings sur tous les sites. Si tu vois un seul qui défend Dalein je te dois mes plates excuses.
LOL.
K. Ba

Youssouf Bangoura
Youssouf Bangoura
4 août 2018 09:36

Baren Soumah, il faut bien qu’on soit d’accord sur un point, je n’ai déclaré nulle part que je suis communiste et que je soutiens sans condition Sekou Touré le plus valeureux enfant de l’Afrique que parce qu’il était communiste . Non, mon soutien à ce grand homme n’a rien à voir avec ses idées communistes, était-il d’ailleurs communiste par choix ou par obligation ? D’après les lectures que j’ai faites lui concernant, bien qu’il fût formé en politique par les enseignants communistes français en Guinée, il n’a choisi cette voie pour la Guinée que lorsque la France lui avait fermé… Lire la suite

Nfamara
4 août 2018 08:10

Le chiffre de 90% n’est pas exagéré, loin s’en faut, il existait une faculté d’agronomie par préfecture, less étudiants orientés contre leur gré dans des filières détestées ne pouvaient être des ingénieurs motivés .A la mort du dictateur, nombreux étaient les rejetons de hauts dignitaires bénéficiant de bourses d’études dans les académies militaire de l’ex URSS.L’horizon intellectuel de Shamless Deen est si limité qu’un vulgaire imposteur de la trempe de Kassory lui sert de référence Notre fameux PM ne s’exprime guère convenablement bien dans la langue de Shakespeare.Je peine à me rendre à l’évidence dans quelle langue notre pseudo docteur… Lire la suite

shams deen
shams deen
4 août 2018 06:34

Nfamara Le monde en particulier la GUINEE ne se résume pas à vous « autres», l’intelligence commande de savoir décrypter le temps qu’il fait maintenant. Je dis encore que « votre complot peulh » est de SIRADIO et que votre fidèle allié d’alors en l’occurrence RFI révise sa position, fini les apartés d’Alain Foča et autres. Faites face aux vidéos de PESNOT. Je compati comme homme a vos douleurs de savoir que les vôtres ont fait le mauvais choix et que leurs sorts ne pouvaient etre autrement, c’est dommage. Le meilleur d’entre les africains lui a ete guide et tant pis pour les… Lire la suite

Baren SOUMAH
Baren SOUMAH
4 août 2018 00:50

@ Youssouf Bangoura, Je pense que vous etes un des rares sur ce site qui defend AST par idealisme. Je ne partage pas votre opinion sur l’homme pour des raisons diverses et variees… Je ne pense pas que vos propres statisques sur votre « inner circle » ou sur le Moriah refletent quoi que ce soit en ce qui concerne les statisques sur l’ensemble de la Guinee. D’ailleurs le PDG lui meme, par la voix de AST, se ventait des statistiques d’etudiants en Agronomie (90% a peu de choses pres). Il y avait quand meme plus d’une dizaine de « Faculte d’Agronomie » contre… Lire la suite

Nfamara
Nfamara
3 août 2018 14:31

Curieuse et drôle conception de la grandeur et de l’excellence que celle du nihiliste nostalgique Shams Deen.Pourquoi,tel un pestiféré, AST est le plus décrié ,le plus controversé et le moins populaire parmi les leaders ayant menés leur pays à l’indépendance en Afrique au sud du Sahara ? Au moment où l’humanité entière magnifie l’oeuvre de Mandela(the icône of the century), des esprits obscures s’attèlent anoblir un tyran, quelle misère spirituelle ! Une évidence demeure, le fama figure parmi les plus grands dictateurs de l’histoire,d’où l’effondrement, comme un château de carte ,de son régime clanique dès sa disparition.

shams deen
shams deen
3 août 2018 09:58

@ Mon Cher Youssouf
Je crois que les anti meilleur africain vont devoir se confronter aux révélations de Patrick Pesnot qui donne beaucoup de sueur froides a nos opposants a nous.
voici un lien [https://www.youtube.com/watch?v=BLLRHuj7_k4] sur youyube .

Continuons de militer pour la VÉRITÉ ,le temps est notre fidèle alliée . Meme RFI,la tribune (privée)d’alors des perdants s’y est mise par la révision de leur façons de faire (elle donne la parole a ceux qui ont toujours refuser d’emboucher leur trompette) et promet de mettre en ligne et sur d’autres supports quelques vérités sur la GUINÉE pour les 60 ans.

Nfamara
Nfamara
3 août 2018 01:04

Shams Deen, my life is a wonderful success story, l’m a high tech mogul, living in a big ocean side condo, driving fast expensive cars. Keep strugling to meet daily end,l feel sorry for you ,your madness is exponentiely growing. You’re a pathologicaly liar.

shams deen
shams deen
2 août 2018 21:14

@ Africain La « 13 ieme Année  » on dirait que Baren ne sait pas que du primaire au BAC il y a bien TREIZE ANNEES SCOLAIRES ou que le concours en 2iem ou 3ieme année des facultés ne sont pas équivalents aux différents DEUG du système universitaire français (du moment que les études universitaires s’étalaient sur 5 ans je ne vois si c’est injuste d’instaurer le concours en 3ieme année équivalent a la mi-parcours du système français. LA VÉRITÉ est que les détracteurs du Meilleur africain ne peuvent que colporter des mensonges déjà diffuses, -injectés à hautes doses dans leurs… Lire la suite

Nfamara
Nfamara
2 août 2018 21:06

Sans pudeur ni vergogne, Shams Deen affirme mordicus que le complot Peulh est une invention de Siradio, ce, en dépit de la disponibilité du fichier sonore du discours de AST en Août 1976.Le Peulh est traité de pervers, de fourbe, d’alcoolique. Vous énumérer quelques exceptions qui ont émergé du lot des générations sacrifiées, quelle imposture intellectuelle ! M’y life is a wonderful success story,l’m a high Tech mogul, living un a big ocean side condo, drivinf fast fancy and expensive cars.You’re a piece of trash of junk strugling to daily meet ends.

Africain
Africain
2 août 2018 09:36

Les propos caricaturaux donc sans pertinence de M. Baren Soumah se passent de tous commentaires. Un extrait : « …la 13e Annee etait une invention de la « revolution » sekoutoureenne, une voie de garage pour la masse d’étudiant bachelier que l’enseignement de masse avait produite. Qui se souvient du concours instaure en 2eme Annee d’universite aussi?.. » Tenez l’équivalent de cette analyse caricaturale sans pertinence en 2018 ou sa version en 2018 concernant la gestion de mon ex champion AC; je cite le syndicaliste M. Aboubacar Soumah : «… Ils ont appliqué la formule du CONCOURS (« qui renvoie… Lire la suite

Youssouf Bangoura
Youssouf Bangoura
2 août 2018 08:55

Shams Deen,
 » le meilleur d’entre nous  » quelle vérité !!! le meilleur enfant que l’Afrique ait enfanté .Je suis un inconditionnel de Sekou Touré mon meilleur homme politique de tous les temps .

Camara
2 août 2018 07:20

Aux yeux de SHAMELSS DEAN, Kassory fait figure ‘d’hyper brillant’. Dans un pays normal, Kassory devrait être derrière les barreaux pour faux-usage de faux et pour trafic d’influence pour avoir affirmé sans vergogne avoir deux doctorats.

non non non Mister K,Ba, c’est pas logique votre raisonnement.
Vous condamnez systématiquement kassory et vous protégez Cellou qui traite des énormités!(premier investisseur au sénégal). Quelle blague. Vous êtes trop fort. A quand cessera l’ethno stratégie.
Shams deen à bien raison.

shams deen
shams deen
2 août 2018 01:38

Baren soumah Vous donnez de la voix dans le mensonge absolu et c’est regrettable pour celui qui semble bien au delà de ce que l’on doit attendre d’un simple . Une partie des 26 ans du pouvoir du meilleur des africains ne nous est pas étrangère mon cher. La haine conduit a la perdition ,pour illustrer cela ,il faut prendre l’exemple a ton boss qui est la actuellement,il a passer le clair de son temps a pourfendre et réclamer un pouvoir qui au final lui est venu et ne sait pas que faire si ce n’est montrer aux yeux de… Lire la suite

K. Ba
K. Ba
1 août 2018 19:32

@Baren Soumah, Bien entendu. La lutte pour la vérité doit continuer. L’avenir de notre Guinée dépend de la « DESEKOUTOUREISATION » du pays. Il y a un quarteron d’ethno-fasciste ignorants qui s’agitent particulièrement sur ce site. Ils n’ont aucune idée de leur légèreté pour affirmer être parmi les meilleurs cadres de l’Afrique. Tu l’as si bien remarqué avec ta belle formule, MO ANDHA, ANDHA ANDHATA – (Celui qui ne sait pas qu’il ne sait pas ne pourra jamais savoir). Il n’y a que les individus cultivés qui connaissent leur limite. En plus, la confrontation avec la complexité du savoir humain… Lire la suite

Youssouf Bangoura
Youssouf Bangoura
1 août 2018 14:17

Baren Soumah, c’est absolument faux de dire que sous PDG 90 % des étudiants étaient envoyés à l’agronomie . Je reviens encore à la charge dans Moriah et dans Soumbouya mes deux régions natales je connais plus de comptables, banquiers, médecins et administrateurs civiles que des agronomes tous ayant étudié sous PDG . Aucun de ceux que je connais( beaucoup de cousins à moi Shams Deen connait certains, les grands frères des amis à moi ) n’avaient un parent ou un frère dirigeant sous Sekou Touré . Je ne cite pas des noms mais des morianais cadres pullulent dans tous… Lire la suite

Baren SOUMAH
Baren SOUMAH
1 août 2018 05:11

@ K Ba, il ne faut pas abandonner. Il faut continuer a expliquer… Encore, et encore, et encore… Aux verbiages creux, opposons les faits et il en restera toujours quelque chose. Mo andha andha andhata… @ Tous, Qui peut encore regretter le temps ou on enseignait dans les langues nationales en Guinee? Encore une fois CDD n’a pas ete victime de l’enseignement dans les langues nationales qui n’a commence qu’en 1969 apres « la Revolution Culturelle Socialiste » (LOL) de 1968. Et puis CDD avait quand meme des grands freres qui etaient « bien places » et qui pouvaient l’aider avant que certains ne… Lire la suite

shams deen
shams deen
1 août 2018 02:04

Forgeron
Le seul fait de se caché ici prouve encore que la dissimulation reste inné en toi et suite.
En public, je réaffirme que les KOKOLALA qui se sont confrontés aux autres parfois chez eux mêmes, bien d’entre eux ont ete les meilleurs.
Dans les écoles sous régionales africaines, les Guinéens en général venaient avant les autres.
Aux passages, les Régions de DAKAR et de BOUAKE sont confrontés aux problèmes d’eaux potables et ce n’est pas le president SEKOU qui dirigé ces pays.
Comme je l’ai dit, vous êtes nés pour ECHOUER parce que votre allié indéfectible reste le Mensonge.

TRONKA
31 juillet 2018 18:11

Mariama écrit:
**Il est regrettable que ne vouliez pas participer à un débat éternel. Pourtant vous avez choisi de venir témoigner ici en affirmant connaitre des témoins qui confirment la version officielle du régime du tyran. Mais ce que vous dites ne résiste pas au bon sens d’un enfant qui croit encore au père noël.**

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Gassi! Et pas de problème!
Bien à vous
Tronka

Mariama
Mariama
30 juillet 2018 22:31

Tronka, Il est regrettable que ne vouliez pas participer à un débat éternel. Pourtant vous avez choisi de venir témoigner ici en affirmant connaitre des témoins qui confirment la version officielle du régime du tyran. Mais ce que vous dites ne résiste pas au bon sens d’un enfant qui croit encore au père noël. Moi je connais bien la région de Siguiri à laquelle appartient le village de Maleah lieu du soi-disant atterrissage de l’avion qui transportait les prisonniers. Seulement la seule piste d’atterrissage dans cette zone à l’époque était l’aéroport de Siguiri à une cinquante de kilomètres de Maleah.… Lire la suite

shams deen
shams deen
30 juillet 2018 22:13

Mon cher Youssouf Ce que tu dis est tellement vrai que CELLOU qui est un produit de l’UNIVERSITE guinéenne est loué par ces gens-là pour ses qualités d’économiste chevronné (il peut discuter avec une tres grande hauteur de vue de l’économie). Youssouf, SEKOU TOURE avait une particularité dans le cadre de l’école, tous les PREMIERS (BRILLANTS) reconnus comme tels ne pouvaient prétendre aux bourses qu’après le diplôme guinéen d’abord. Don KASSORY est de ceux-là qui étaient hyper brillants donc condamné à finir ses études d’abord en GUINEE, c’est le cas de KABA 18 (Ancien RECTEUR), c’est aussi le cas de… Lire la suite

Youssouf Bangoura
Youssouf Bangoura
30 juillet 2018 19:59

Mon cher Deen, à Moriah, la zone que je connais le mieux au monde, il y a une multitude d’universitaires qui ont étudié sous le régime PDG dont les parents étaient des paysans, commerçants, des planteurs et mêmes chauffeurs des camions .Certes, il y a eu quelques uns qui ont fait la faculté d’agronomie mais, la grande majorité d’entre eux, sont médecins,comptables, diplomates et administrateurs civiles . Ils sont dans tous les ministères( primature, affaires étrangères et finances surtout) . Il est vrai que le fils d’un paysan rencontre plus de problèmes que le fils d’un dirigeant, cela est aussi… Lire la suite

K. Ba
K. Ba
30 juillet 2018 15:11

Le dicton de l’année et des siècles a venir : NOUS AUTRES QUI AVONS APPRIS KOKO LALA SOMMES MEILLEURS AUX AUTRES ET DANS TOUS LES DOMAINES.
If we are born to fail, the Dean of shamelessness is born to lie.
I wish you good luck NFamara in your attempt to engage in a civil discussion with this lunatic mind.
K. Ba

shams deen
shams deen
30 juillet 2018 07:46

Nfamara On ne peut pas etre équidistant de deux positions antinomiques et écrire cette litanie d’anti-vérité. 1-« Le complot peulh « est une invention de SIRADIO DIALLO, que ça choque ou pas c’est ça la stricte vérité. 2-Les Langues Nationales, Dieu merci l’allié de toujours la France recommande aux autres pays qui ont cru que c’était possible d’arriver à la hauteur des autres avec des instruments empruntés. L’Histoire a donnée raison à qui de droit, inutile de démontrer une fois encore que nous autres qui avons appris KOKO LALA sommes meilleurs aux autres et dans tous les domaines. 3-Il n’existe pour le… Lire la suite

Nfamara
29 juillet 2018 20:42

Tout à fait Dr Tronka, la passion et l’incivilité dans le débat autour de l’œuvre personnelle de AST et par ricochet de l’héritage du régime de la première République empêchent l’émergence de la vérité authentique de cette étape de notre histoire.Deux positions antinomiques, nettement tranchées incarnées d’un côté par les admirateurs inconditionnels du Fama et de l’autre, les détracteurs irréductibles de l’homme.Personnelement, je me situe à équidistance de ces deux pôles partisans.S’il est établi que toute œuvre humaine comporte des grandeurs et des faiblesses, il va s’en dire que les actes posés par AST obéissent à cette logique.Ceci étant,si tous… Lire la suite

TRONKA
29 juillet 2018 09:17

@K.BA Mon cher, Ne comptez pas sur moi pour prolonger ce débat car j’ai bien peur que vous finissez par dire ce que je n’ai jamais dit. Je réitère un fait: victime à tort ou à raison à cette époque, j’en avais aussi. L’acquisition du fanion de la vérité ne peut se faire dans un écosystème passionnel, dominé par la mise en scène des protons de la haine. Nous devons nous ressaisir dans notre débat contradictoire afin de mener une communication synthèse pour l’émergence de la vérité sur notre histoire. Je ne suis pas défenseur d’opinion stéréotypée, Je m’exprime dans… Lire la suite

K. Ba
K. Ba
28 juillet 2018 22:13

@Tronka. « Comme dans tout régime, il y a des situations formidables et des situations regrettables. » Tronka, cette formule lapidaire serait acceptable si Sékou Touré et sa clique avaient maintenu un semblant de régime en Guinée. Mais c’était plutôt une MAFIA divisée en clans (Touré et Andrée) qui prit la Guinée sous-coupe réglée. Le seul universitaire dans ces 2 clans fut Mamadi Keita. Après des études de philosophie, il ne trouva rien de mieux à faire que d’être chef de pelotons d’exécution et de comité de tortures. Sans compter la destruction de l’enseignement guinéen comme ministre inamovible de ce… Lire la suite

Nfamara
28 juillet 2018 20:23

Transférés à Conakry les parachutistes seront soumis à des séances infernales de sévices afin de leur extorquer des aveux sous torture.A bout de souffle, ils vont se résoudre à citer les noms de Kaman et de Fodeba, c’est la genèse du ce qu’il conviendra de désigner sous l’appellation de complot des officiers félons et des politiciens véreux.C’est le lieu de rappeler que depuis l’acceptation du dossier de création d’un nouveau parti politique déposé par Petit Touré au ministère de l’intérieur, Fodeba était en sursis, une sorte de liberté provisoire, en attendant la prochaine purge.En témoigne sa disgrâce à travers sa… Lire la suite

TRONKA
28 juillet 2018 17:25

@Mariama D’abord et comme toujours, je réitère mon respect pour tous les morts quels qu’ils soient: -Le camps boiro -L’agression barbare du 22 novembre perpétrée par certaines puissances occidentales et leurs complices occasionnant 360 morts. – l’affaire Diarra Traoré – la tragédie du 28 septembre etc.. -La guerre civile à Conakry(je crois de 1956)que ni vous ni moi avions connue etc… Pour ne citer que ces cas. Toutes ces histoires nous mènent à la tristesse. Et le célèbre Victor Hugo avait bien raison:La tristesse c’est l’hiver du cœur. **Savoir nuancer: Entre participer à un débat contradictoire et faire l’avocat du… Lire la suite

Mariama
Mariama
27 juillet 2018 22:15

Tronka, Vous dites connaitre deux personnes qui sont témoins de l’événement. Alors pouvez vous nous expliquer les points ci-dessous? 1 – Comment un avion peut atterrir dans un village qui n’a pas d’aéroport? 2 – Pourquoi des parachutistes qui viennent de larguer un policier peuvent faire confiance à l’équipage de l’avion d’aller sans eux chercher de l’aide au village (version officielle) 3 – Pourquoi ces parachutistes arrêtés à Labé et amenés à Conakry n’ont jamais été jugés. Ils ont simplement été liquidés sans autre forme de procès. 4 – Toutes les autres personnes arrêtées à la suite du complot issue… Lire la suite

TRONKA
22 juillet 2018 11:38

@Mr Bah Bonjour Lorsque nous parlons de notre histoire pour essayer de baliser le chemin de la vérité, l’éthique de notre raison d’être dans la profondeur de notre conscience, nous interdit les amalgames et approximation. – C’est complètement Stupide de parler de l’armée Malienne. Une vraie fausse note. J’ai connu 2 témoins et artisans essentiels de l’arrestation: le commandant d’arrondissement de ladite localité et un adjudant chef à l’époque en poste en même temps que le commandant(tous de l’armée guinéenne). Aucune ambiguïté sur la tentative d’évasion. -Aucune ambiguïté sur les tenants et aboutissants de la mort par éjection de Boiro.… Lire la suite

Africain
Africain
19 juillet 2018 09:50

« …Même si il s’agit de décrire un diable, on ne doit pas lui enlever ses qualités, Emile par divers témoignages que j’ai lu, était un esprit au dessus de la moyenne en Guinée, son admission à William pointy était dû uniquement à son intelligence… » dixit M. Bangoura youssouf Merci de l’avoir noté. Sur ce point il utilise la même recette que l’auteur Sako Kondé quand ce dernier parle de feu Keita Fodéba; je cite l’auteur : « …Il (feu KEITA Fodéba) n’est que de jeter un rapide coup d’oeil sur l’histoire individuelle de cet ancien instituteur qui avait eu quelque vague… Lire la suite

shams deen
shams deen
19 juillet 2018 05:40

Le JARDINIER de la haine (OUORORA )revient encore pour apporter des intrants et autres nutriments pour la PLANTE de la HAINE.
L’Histoire (H) a déjà rendue son verdict, vos alliés d’antan ont cru nécessaire de redire encore leurs parts de Vérités sur la Guinée (une compilation de témoignages,cette fois ci pas seulement des toujours les mêmes mais aussi les autres , est attendue en septembre Octobre signé Laurent Corro RFI) a l’occasion des 60 ans de la REPUBLQUE .
Dieu bénisse les intelligents .

Youssouf Bangoura
Youssouf Bangoura
18 juillet 2018 09:43

Pourquoi à la place de  » il sera accepté à William Pointy  » n’écrivez vous pas  » il sera admis  » car les deux phrases n’ont pas les mêmes valeurs . M^me si il s’agit de décrire un diable, on ne doit pas lui enlever ses qualités, Emile par divers témoignages que j’ai lu, était un esprit au dessus de la moyenne en Guinée, son admission à William pointy était dû uniquement à son intelligence . Africain, tout à fait, Ourourou aurait dû commencer par Keita Fodeba car hiérarchiquement Fodéba Kéita était supérieur à Emile Cissé, on commence toujours du… Lire la suite

NfamaraNfamara
NfamaraNfamara
18 juillet 2018 05:24

Un personnage cynisme, cruel, zélé, pervers, léger de moeurs et indésirable. En vrac et pèle mêle : au moment des faits Mbengue était Lieutenant de grade, c »est le commandant Cheick Keita, qui dirigeait le camp Elhadj Omar, où était stationné le bataillon des troupes aéroportées, communément appelé béret rouge. Il avait pour assistant le lieutenant Ali Coumbassa. Fer de lance de l’armée Guinéenne, le régiment des parachutistes était craint et respecté, d’où l’implantation de leur QG à l’époque à Labé pour contrer les éventuelles velléités de déstabilisation à partir du Sénégal.Si j’ai bonne souvenance, à la suite des graves accusations… Lire la suite

Africain
Africain
17 juillet 2018 19:01

M. Bah Bachir alias Ourouro , vous ouvrez bien une brèche au propre comme au figuré. J’ose espérer que vous n’alliez pas vous arrêter en si bon chemin dans ce que Sako Kondé qualifiait « d’introspection collective) dans son livre : « Guinée, le temps des fripouilles ». Venant de vous, je piaffe d’impatience de lire : 1) Le « cas extrême » (écrivait Sako Kondé) de Keita Fodéba dont le fils Préside L’Association des Victimes du Camp Boiro (AVCB) ; 2) Le cas de feu Teli Diallo l’une des victimes dont une « conspiration du silence » comme écrivait… Lire la suite