
Dans une déclaration explosive rendue publique le 10 août 2025, les Forces Vives de Guinée (FVG) accusent le général Mamadi Doumbouya de « confisquer le pouvoir » et de piétiner ses engagements de transition. Au cœur de la polémique : le référendum constitutionnel prévu le 21 septembre, que la coalition juge taillé sur mesure pour offrir au chef de la junte « une présidence à vie ».
Les FVG dénoncent un régime marqué par la corruption, la répression sanglante (plus de 60 manifestants tués selon elles), les disparitions forcées d’activistes et journalistes, ainsi que la mort suspecte de personnalités en détention. Elles accusent le pouvoir d’instaurer un « climat de terreur » pour bâillonner toute contestation.
La coalition appelle à une mobilisation nationale et internationale. Des manifestations pacifiques sont annoncées dès le 5 septembre, partout en Guinée et dans la diaspora, pour « dire non à la trahison des engagements » et « empêcher la confiscation du pouvoir ».
Nous y reviendrons!
Gbassikolo.com
Les FVG/opposition toujours en panne de stratégies, sans les armes (une rébellion armée) où un coup d’état DOUMBOUYA ne partira pas.
Ça ne sert à rien de lancer des mots d’ordre de grève pour faire tués des enfants, d’ailleurs,les gens (la population) est fatiguée de ces grèves improductifs.
Encore des manifestations inutiles qui permettront aux forces du désordre de tuer et violer. Si les forces vives ne peuvent pas constituer une force armée pour faire partir le Gle Doumbouya et sa millice, qu’elles laissent les Guinéens dans ce semblant de paix qu’ils ont.
Mamady ne partira qu’avec des armes, rien d’autre.