Au Ghana, le président vient d’annoncer la suspension de la présidente de la Cour suprême, Gertrude Araba Esaaba Torkornoo. Une décision motivée par trois pétitions produites à l’encontre de la plus haute magistrate du pays. Ces dernières pointent notamment des « allégations de mauvaise conduite et d’abus de pouvoir » et demandent, donc, sa destitution. Une procédure sans précédent dans l’histoire de la IVe République, qui, bien que prévue par la Constitution ghanéenne, pourrait avoir de lourdes répercussions politiques.
Source: RFI Afrique
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