La situation est toujours tendue au Mozambique, avec au moins 33 personnes tuées depuis le début de la crise post-électorale. La journée du 7 novembre, à l’appel du candidat de l’opposition à la présidentielle Venâncio Mondlane, devait marquer le pic de la contestation, mais le mouvement n’a pas gagné en ampleur. Le soutien à l’opposant désormais en exil serait en plein essoufflement, selon Michel Cahen, directeur de recherche émérite du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) à Sciences Po-Bordeaux et spécialiste du Mozambique.
Source: RFI Afrique
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