Opinion//Tamba patouille ses “faux” assertoriques ! (par Benn Pepito)

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Tamba Zacharie Millimono, pasteur ou apôtre doublé de journaliste, qui a passé la bague de mariage ex abrupto à Esther Millimono née Oumou Hawa Bah, sort du bois et patouille ses « faux » assertoriques dans leur affaire portée sur la toile.

Tamba se dit victime de lynchage médiatique ; ergo il rompt le silence parce que ne comprenant pas qu’on en dit de toutes les couleurs sur lui.

Il prend ses aises sur le plateau des « Grandes Gueules », le visage presque riant.

D’entrée on l’entend bafouiller dans ses explications par rapport à l’apostasie de sa compagne :

« Elle a choisit de se faire appeler Esther. Mais même maintenant je l’appelle Oumou. C’est son nom. Ça ! ça n’a jamais changé. Ceux qui ont dit qu’on a changé même le nom de famille… Hé ! Donc je veux !… c’est-à-dire kidnapper ne suffit pas il faut que j’efface même son histoire avec sa lignée pour en faire Oumou Hawa Millimono. Ça colle même pas bien ! »

Ah, non ! Force est de dire que Oumou Hawa Millimono colle parfaitement bien. C’est même irrespectueux et insultant pour elle d’entendre son homme continuer à l’appeler par ce prénom qu’elle a renié !… Sauf si tu tires fierté morbide à l’appeler toujours par ce prénom qui écorche son âme.

Autrement dit ce n’est pas l’appartenance ethnique qui est mis en cause dans l’affaire. C’est encore moins le fait que Oumou Hawa Bah ait abjuré pour prendre le nom de Esther Millimono. Mais laissons Charon finir son homélie ; et ensuite seulement, nous mettrons flamberge au vent !…

« Ce qui m’a résolu à prendre la parole aujourd’hui. (…) Beaucoup de choses ont été dérangées. On a pris la décision de me présenter comme quelqu’un qui a détourné une fille, qui l’a épousée sans demander l’autorisation de l’épouser à ses parents. Je veux dire une seule phrase : tout ça est faux. Tout ça est faux sans en donner plus de détails. Avant de prendre la parole, ce matin, j’ai demandé au procureur général, Charles Wright, de me donner l’autorisation au moins d’aborder certains aspects qui ont été développés par des journalistes dans la presse. Et je lui ai fait la promesse que je ne parlerai pas de mes beaux parents. Je ne le ferai pas. Mais tout ce qui a été dit :

Est-ce que j’ai prié pour elle pour son mal de tête ? C’est faux. Est-ce que je l’ai amenée à l’Eglise pour prier pour elle ? C’est faux. Est-ce que je n’ai pas demandé la main de cette femme ? Chez-nous, moi-même je suis petit… Mais mon père, ma mère, pardon ! Mon père et mon tuteur, ici, ils savent. Ils savent

ce qui s’est passé. Ça aussi c’est faux. C’est faux ce qui s’est passé. Est-ce que j’ai interdit que ma femme ait contact avec sa famille ? C’est faux. Totalement faux. Et donc je me suis posé une question : je vous assure encore ce matin je ne sais pas pourquoi cette campagne a été lancée sur les réseaux sociaux ? Je n’arrive pas à comprendre. (…). Jacques, Antoine, on s’est vus. Vous connaissez tout le dossier. Moussa Yero, tu connais le dossier dès l’origine. Ahmed, tu connais le dossier dès l’origine. Tu connais cette histoire. Robbie, toi et moi, on a partagé tout ça, parfois autour de repas. Vous connaissez tous le dossier. Lamine ! depuis 2019, tu me demandes : tu te maries quand ? Je dis : c’est en cours. C’est en cours. Depuis 2019 ! Parce que j’essayais de trouver une solution. Impossible de la trouver. Encore une fois, j’ai fait la promesse à mon épouse de ne pas parler de ce qui est le fond parce que je vous assure : c’est sale ! C’est sale ! Si j’ouvre la bouche dessus : c’est sale ! Et je ne vais pas entrer dedans. (…). »

Et patati et patata !

Il a beau jeu sur les ondes des « Grandes Gueules ». Il fait la bouche en cœur, apostrophe à tout bout de champ ses confrères qui, présents sur le plateau, opinent comme des compères pour appuyer les fadaises qu’il leur débite. Ainsi le poisson est complètement noyé. Il enrobe la vérité dans des non-dits et des détails insipides.

On lui impute à crime d’avoir entortillé Oumou Hawa Bah qui, comme il le sous-entend, n’était pas une pucelle quand il s’est toqué d’elle.

Son crime, en tant que pasteur ou fils de pasteur comme il s’en vante, c’est d’avoir justement dit ses grâces avant le bénédicité.

Ce n’est pas parce que le problème était insoluble qu’il fallait absolument dévergonder la nymphe pour s’en approprier ex abrupto.

Il soutient mordicus que son père et son oncle savent ce qui s’est passé. Cela infère quoi par rapport à la moralité et au caractère du père et de l’oncle ? Pourquoi n’ont-ils pas agi en ramenant leur enfant égaré sur le chemin de la sagesse ? Parce qu’eux savent ce qui s’est passé !…

Tamba le hurle en intelligible voix : son père est un pasteur ; partant, celui-ci a sûrement survolé l’apôtre Mathieu qui dit dans la Bible :

« Tout ce que vous voudriez que les hommes fassent pour vous, vous aussi, faites-le de même pour eux, car c’est ce qu’enseignent la loi et les prophètes. »

Autrement dit : ne fais pas à autrui ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse.

Père Millimono voit et entend l’humiliation que son rejeton continue à infliger à la mère. Itou pour l’oncle tutélaire à Cona-cris. Tous deux le laissent faire. Ils

l’encouragent à agir avec irrévérence à l’égard de la mère et de la parentèle de Timbi Madina. Et fort de ses arrières, le gandin fait la pluie et le beau temps.

Tamba ? Tu dis être sociologue !… Franchement, il y a de quoi s’interroger sur ta moralité et sur ta formation intellectuelle.

Alors à supposer que tu ne sois pas un sociopathe, comment en tant que Guinéen et de surcroît sociologue peux-tu admettre de te marier sans la présence de la mère, de la tante, d’un membre de la parentèle de ta compagne ? Comment ? La vidéo sur ta prétendue union avec cette femme n’est pas trafiquée. On voit de nos yeux vu le déroulé du scandale. La mère est éconduite comme une personne insignifiante. Regarde la vidéo ! Regarde la brutalité ! Tu es désolé mais ça ne te choque pas. C’est ça !…

Admets alors que tu es un sociopathe, un iconoclaste. Et tu es en contradiction flagrante avec l’enseignement de la Bible. Effectivement, tu évolues dans une secte. L’Eglise ne peut pas bénir ce comportement choquant et insultant de ta part.

Dans tes dires assertoriques, tu martèles :

« Encore une fois, j’ai fait la promesse à mon épouse de ne pas parler de ce qui est le fond parce que je vous assure : c’est sale ! C’est sale ! Si j’ouvre la bouche dessus : c’est sale ! Et je ne vais pas entrer dedans. »

Ces maux assertoriques sont percutants et intrigants !…

Seulement à quoi bon ouvrir grandement sa bouche si on n’aborde pas le fond de ce qui nous incrimine ?

C’est une manœuvre de diversion qui vise à annihiler les critiques. Tu crée une diversion juste pour pouvoir reprendre le micro…

Qu’est-ce que tu insinues en martelant que le fond de votre affaire est « sale » ?

« Si j’ouvre la bouche dessus : c’est sale ! »

Cette menace est à l’adresse de qui ? Contre l’honorabilité et la respectabilité de la parentèle de Timbi Madina ?

Qu’est-ce que ce fond cache comme saleté ?

Franchement, ces propos interrogent. Et l’on ne voit pas comment la mère et la parentèle de Timbi Madina pourraient être éclaboussés de la lavure si le pasteur séducteur lave le linge sale de son affaire dans les toilettes des Grandes Gueules ?

Ça insinue quoi ? L’emploi du mot « sale » par l’insidieux pasteur sous-entend quoi de rebutant, de repoussant, d’immoral, d’immonde, de scandaleux dans la famille ?

L’attitude irrévérencieuse de Esther Millimono vis-à-vis de ses parents biologiques cacherait-elle un secret de famille que Tamba Millimono brandit comme une menace au micro des Grandes Gueules ?

A entendre Tamba Millimono, s’il ouvre la bouche au micro des « Grandes Gueules » la terre va trembler à Timbi Madina. Malheureusement il a promis à sa compagne et au Charlot de la procurature de cacher la poussière sous le tapis ; ergo il la ferme.

Cette sortie singulière du pasteur Tamba Zacharie Millimono prouve qu’effectivement il n’y a jamais eu de réconciliation entre la mère et lui.

En fait Tamba et le Charlot de la procurature ont entraîné la mère et la parentèle de Timbi Madina dans un prétoire mal famé de Cona-cris, en présence d’hommes en tenue armés, pour leur arracher une réconciliation. Ça a fait pschitt !

Charlot de la procurature, qui a la haute main sur l’affaire Tamba et Esther Millimono, a été incapable de dégoter dans tout Cona-cris un lieu de dialogue beaucoup plus honorable et respectable en rapport avec le rang social de la parentèle de Timbi Madina.

Nous sommes en Afrique et de surcroît en Guinée. Nos us et coutumes et traditions sont encore d’actualité. On ne se réconcilie pas dans un tribunal, dans une salle d’audience.

Et cela a été une mortification pour la mère et la parentèle de se retrouver en ce lieu où le cupidon des Grandes Gueules et Charlot leur ont fait jouer une véritable parodie de réconciliation. L’on dira même qu’elles ont assisté à une parade, à une rodomontade de la procurature. Ce jour, elles sont rentrées chez elles tout à l’envers de cette parodie de réconciliation.

On n’a pas vu le père et la mère et l’oncle tutélaire de Tamba Millimono prendre part à cette parodie de réconciliation insultante à l’honorabilité de la mère, fortement meurtrie par l’apathie de caractère de sa fille.

Il faut tirer le chapeau au nautonier qui a réussi son opération de lavage de cerveau avec l’effrontée qui, dans sa disposition d’esprit pour lui prouver sa passion, est prête à tout. Contre vents et marées. Contre mère et parentèle.

Tamba souligne que ce qui le chagrine surtout dans ce tollé c’est l’attitude de ses confrères qui en disent de toutes les couleurs sur sa personne et sur son comportement.

L’un d’eux a même le toupet de laisser entendre que le Charon est un gourou à la tête d’une secte :

« C’est une secte, mon église ! L’église protestante évangélique de Guinée est plus guinéenne que la République de Guinée. Pourquoi je le dis ? Il y a trois confessions religieuses qui ont participé à la fondation de l’Etat guinéen. Il y avait l’Etat guinéen, il y avait l’église protestante évangélique de Guinée dedans. Il parle de ça comme une secte. Aucun respect pour la religion des gens. Il me présente comme un pasteur. Un pasteur n’est jamais seul : il y a toujours un monde derrière lui. Il me présente comme un pasteur. Ça veut dire c’est un groupe. (…). »

Devant le micro, on est vite pris de diarrhée verbale. Et on s’emmêle les pinceaux et on ne se rend pas compte des conneries qu’on sort de sa bouche, surtout quand on est plein de soi-même.

Il cancane que l’église protestante évangélique est présente en Guinée depuis 1918. C’est récent au regard de l’histoire. Va poser la question à Monseigneur Robert Sarah depuis quand l’Eglise, tout court, est présente en Guinée.

Quand on est dans la manipulation des esprits, on voudrait bien que les gens fixent le doigt qui leur parle plutôt que de susciter en eux l’esprit de discernement pour qu’ils regardent véritablement la chose montrée.

L’église protestante évangélique est une dissidente de l’église, tout court.

Recherchant l’effet de manche, le pasteur protestant évangélique fait l’esprit en soutenant mordicus que ce sont trois confessions religieuses qui ont participé à la fondation de l’Etat Guinéen. Il assimile l’Etat guinéen à une confession religieuse et il cite l’église protestante évangélique de Guinée et il passe son chemin.

Il est le premier, dans cette affaire, à se jouer de la religion chrétienne. C’est lui qui ne respecte pas la religion chrétienne.

Il est pasteur. Et en tant que tel, il séduit une femme. Il vit maritalement avec elle des mois durant. S’il est véridique, il ne peut pas nier cela. Et Jacques et Antoine et Moussa Yéro et Ahmed et Robbie et Lamine le savent.

Et contre la volonté de la mère, du père, et du grand frère, le pasteur séducteur a entraîné sa concubine dans un prieuré charonien où il lui a glissé une bague de mariage au doigt.

C’est ce qu’enseigne la Bible ? C’est Jésus qui a dit ça ? Par la bouche de quels de ses apôtres, Jésus a dit qu’on peut imposer son diktat de cette façon pour marier sa concubine en dépit de l’opposition de ses parents ?

Ecoute, Tamba ! ce qu’on te reproche c’est l’usage bordélique que tu fais de l’enseignement de la Bible.

Tu sais ! On ne cesse de te dire que tu ne respectes pas la mère de ta compagne. Laisse ta secte de côté, reprends la Bible et relis le témoignage de Jean 19: 26-

  1. Et tu te rendras compte si vraiment tu es un homme d’esprit que tu n’es pas plein de respect et de déférence à l’égard de la mère. Tu l’as bafouée. Tu l’as bafouée devant tout Timbi Madina et devant toute la Guinée.

Supporterais-tu que quelqu’un prenne plaisir à bafouer ta mère ou ton père ?

Dans tes arguments, tu feins l’affliction et tu te fais passer pour l’incompris, le réprouvé, le malheureux. Tu dis avoir envie de pleurer mais tu refuses de verser des larmes de crocodile sous couleur de ne pas ressembler à une femmelette. C’est du cinéma. C’est de la sensiblerie.

Tu dis être un glouton mais que tu as maigri. Est-ce que Esther a maigri ? La mère, quant à elle, n’est plus que l’ombre d’elle-même ! Et ça ne fait ni chaud ni froid à l’effrontée de voir sa propre mère dans cet état d’affliction.

Encore bizarroïde : tu ne songes qu’à ton ventre et au sexe ?

Tu commets un acte ignoble, répugnant, immoral ; en sus tu plonges dans un accès de rage en incriminant tes confrères de la place d’avoir répandu dans le bled ta frasque et de t’avoir descendu en flamme :

« Dans ma situation, la vérité n’a pas eu d’allié. Dans ma situation, la vérité n’a pas eu d’allié. On a préféré se cacher derrière l’ethnie, il faut le dire. »

Wallahi ! Billahi Tallahi ! C’est le monde à l’envers… Tu dévoies une bégueule, tu traites sa mère par dessous la jambe, tu offenses mortellement en public sa famille ; et maintenant tu te victimises en affectant, l’ingénu, l’innocent, l’immaculé. Pire ! Pire ! Pire encore, tes soutiens te comparent au Christ crucifié injustement et par abus d’autorité… En quoi ton acte immonde condamnable est-il comparable à la crucifixion de Jésus ? Tu forniques, tu pèches au vu et au su de tout le monde, et ils te victimisent et ils rendent gloire à Jésus. Mais… c’est fou ! Si tu n’es pas dans une secte, c’est quoi ça alors ? En tout cas ce n’est pas l’Eglise… Tu as lu Pascal ? Il faut le lire ou le relire pas le survoler.

Tu ne demandes à personne d’être complaisant avec toi. Dans ce cas débite-nous la vérité. Tu as repris le micro : c’est l’occasion alors de rétablir ton nom réputationnel en disant la vérité.

C’est faux : on ne se cache pas derrière l’ethnie dans ta situation. On le répète avec insistance que c’est ton comportement qui est en cause. Et non ton ethnie ou l’Eglise. Il n’y pas d’accroc entre les Peuls et les Kissis comme tu veux le faire croire parce que cela ferait ton affaire. Il y a des Kissis respectables et

honorables. Mais on ferraille contre les pharisaïques qui se servent de la religion chrétienne pour abuser des gens, détourner des femmes, faire ce que tu as fait.

Le 18 novembre 1978, Jim Jones, gourou de la secte du Temple du peuple, aux Etats-Unis, avait entortillé près de mille personnes, en se servant de la Bible, et réussi à pousser au suicide 914 fidèles à Guyana. Ce suicide collectif sous l’impulsion du gourou Jim Jones est considéré aujourd’hui comme la  plus grande perte humaine aux Etats-Unis avant les attentats terroristes du 11 septembre 2001.

Les gourous font actuellement des ravages aux Etats-Unis, en France, en Angleterre, en Tanzanie, au Kenya, en Inde, partout dans le monde. Ils profitent des religions pour abuser d’individus mal-en-point. Il faut absolument les débusquer, les démasquer et les empêcher de nuire à autrui. Dans les sectes, les gourous escroquent les hommes, les dépossèdent de leurs biens, détournent les filles et les femmes, les abusent, les engrossent.

Sinon dans ta situation, la religion chrétienne n’est nullement prise à partie. Dans le Coran, il est dit dans la Sourate Al-Imran :

« Nous croyons en Allah, à ce qu’on a fait descendre sur nous, à ce qu’on a fait descendre sur Abraham, Ismaël, Isaac, Jacob et les Tribus, et à ce qui a été apporté à Moïse, à Jésus et aux prophètes, de la part de leur Seigneur : nous ne faisons aucune différence entre eux ; et c’est à Lui que nous sommes Soumis ».

Tu vois ! Non, tu ne peux pas voir !… C’est une miséricorde que de naître soumis. C’est une autre miséricorde que de le devenir. Mais surtout et surtout c’est une grande miséricorde que de savoir l’être jusqu’au jugement dernier.

Bon ! Tu dis n’avoir jamais poussé la porte d’un marabout pour se convertir à la religion musulmane et tu pries l’Eternel de t’en garder. Tu prétends croire en Dieu ! Que le Tout Puissant Allah, Créateur des cieux et de la terre, Créateur de tout ce qui est animé de vie ou inanimé, exauce ta prière ! Que l’Eternel, qui n’a pas été engendré et qui n’a pas engendré, qui est trop fier pour s’attribuer un fils, qui connaît le contenu des cœurs, qui discerne les tartuffes des vrais croyants, exauce ton vœu ! Amen. A chacun sa foi. A chacun sa croyance. A chacun sa dernière demeure.

En matière de religion il faut taire la raison et réveiller la foi, enseigne du reste le philosophe.

Partant, ne forcez pas les portes des gens pour embobiner leurs filles ; et les inciter à abjurer, à se débaucher. On veut plutôt que les choses se fassent dans les règles de l’art. Même au nom de l’amour !

C’est sous ton influence charonienne que Oumou Hawa Bah a défroqué pour devenir Esther Millimono et tourner le dos à sa mère, à son père et à son frère et à tous ses parents de Timbi Madina. Esther Millimono a succombé à la séduction. C’est la tentation de la chair… Pour le ventre et le sexe ! Pour le sexe et le ventre. Le tout enrobé sous l’appellation de l’amour !…

Benn Pepito

 

 

 

 

 

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moriba
moriba
20 juin 2022 10:07

Vraiment mon frère tu es un bon journaliste et la meilleure solution serai que tous les musulmans boycottent cette radio promotrice de la haine contre l’islam tous les commerçants musulmans devraient éviter d’y envoyer des spots publicitaires

Moustapha
Moustapha
18 juin 2022 14:09

Entièrement d’accord avec le contenu de ce texte venant de surcroît d’un de ses confrères. Quand on est responsable et bénéficie d’une certaine notoriété en plus, on ne se marie pas au forceps dans l’ignorance totales des coutumes. Tamba se victimise, mais au fond de lui, il sait qu’il a agressé une famille de façon mystique.