« Variations entièrement en couleurs » (Pastiche du crooner et « claquettiste de génie, ami de Frank Sinatra et Dean Martin, Samy Davis Junior, présentant le premier numéro d’une émission animée pour la première fois par le Nègre qu’il était à une des nombreuses et grandes chaînes de télévision américaines. Aux States, les chaînes de télévision avaient déjà la couleur dès les années 60, (ou avant ?) alors qu’en France, l’ORTF, unique chaine en était encore au nègre-blanc (sic !), et était de surcroit, l’unique Voix de son maître, comme à « Dumbélane », jadis, il y a vraiment longtemps.
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Monsieur-dame Couleur Tropicale,
Pensez à la cale
Et doucement avec les basses
Un vieux gbaka sur une pente
Finit en couper décaler
Comme Awlaba en taille basse :
Je ne peux pas
« Démissionner avec fracas »
De la Toile
Tel le Cowboy du Far Web
Je n’ai pas d’étoile
Je n’y occupe aucun emploi
Ni public ni privé.
Ni Col blanc de Bandikon
Qui peste l’empois
Encore moins « avec fracas :
Le fracas dans une « étoffe »,
Filée dans du virtuel ?
Qu’importe le fiel
D’un Lucky Luc
Tracassé d’un sempiternel
« Qui l’eût cru ! »
Vathor dit : « viens Luc
Vers le côté obscur de la force »
Va-t-en farceur
Lui l’Effaceur de la Toile ?
Qui, sosie de Shwarzie ?
Pour nettoyer une cocoteraie.
Coco la lâ !
Qu’elle est donc tombée bas
« Avec fracas »,
La Maison de Molière,
Il avait raison le lièvre :
« Tel a tué le gibier
Un autre l’a levé »
Chute d’un TERMINTATOR
Se noyant dans un verre d’eau !
« Molière du WEB » !
Ou World Event Bondage.
W comme World ou Whore
E, comme Event :
Chez les cétacés,
Et les crétins
Orifice des narines.
C’est par les évents
Que jaillit le « souffle »
« Caractère hystérique » des baleines,
Ou râle sibilant
Pris pour du style
Chez les baleines tropicalées..
B comme baleines
Ou bondage, pratique sadomasochiste
Qui consiste à attacher son partenaire
Par une chaîne érotique
Qui serait moins phallique
Que d’épouser légalement en Guinée,
Une guinê de 8 ans quand :
« Là, Couleur Tropicale touche à
Une pratique ancrée
Dans la culture peule ».
Violeur du quart corps
De la nation Guinée
Corps à corps obscène et veule
OGM par l’obscène « Question peule » !
(E)jaculation d’ un cancre depuis sa panse
Faisant tout son foutre
Sur le Fouta
Pour défaire Talansan ?
Oury, laisse béton.
Ne me déçois pas
Déchoir du perchoir d’estime
Glisser en gluant
Trottiner avec des trolls
Ahanant sur la callera
D’un simple verlan
La racaille renversée
Voilà eux
Tu n’as pas dit
Que tu veux
Il faut peu pardi !
Pour le voir moisi
« C’est un pas affranchi »
Dis l’esclave
Qui a des tas de pas à faire
Pour franchir l’imposture
Laisse-moi avec Tarzan
Sans mentir
« Ton Mentor », comme il dit
A tout le temps
Il est vieux pas veule
Seul mais pas sénile
Bien à l’abri
Des postillons de cabris
Qui confondent laine et sisal
Pas facile à démêler
Une telle filasse
Foutaises ! Postures de Djantras
Pour Djandjous sauvés
Des ruines laissées par Mandjou
En transit au carrefour du même nom
Mais Fiston
Tonton te dit
Fais comme le petit de Gary
Voir « Le Roi Salomon »
Ou « La vie devant soi »
Ohon, j’ai raté un Goncourt
L’autre en a eu deux
Pan, une balle sur une tempe !
« Salauds, je me suis bien amusé ! »
La canaille rassie, ces cons,
Ne cessaient de railler :
« Un vieux Goncourt
Depuis vingt ans
Toujours le même bouquin »
Les catins et leurs verrats
Dans les salons du livre
Après un câlin ou un kotè
Par des faquins
Sur des lits moelleux
Ivres livrées
À la lie littéraire
Laisse-moi faire
« Sénile, débile, retraité.. »
J’ai tout mon temps avec les masos
Ou même les sados
Tas d’enfoirés !
Fouilleurs de poubelles
Pouilleux qui jouent les fanicos
Qui profanent des tombelles
Nko, ni man tô
Mi fiyètè hâ faÿa gniri
Un vénérable Keïta
Disait à son fiston
Blakro en bamana,
I fa foro en maninka !
Gens du Mandé
J’adore votre groove
Mais je grogne grave
Quand tel tombe dans la world
Devenue gore
Pour ne pas dire wohre
Well Monsieur-dame Couleur
Trop calé(e), éventuellement,
Quand j’en aurais ras-le-bol,
Je laisserai nrgui.com gratis,
Au preneur méritant,
Au REDEMPTEUR tiens,
Qui officiait autrefois, jadis,
Il y a longtemps,
Vraiment longtemps de cela,
Sur le site officiel du RPG,
Comme moi d’ailleurs.
Mais moi tailleur du grand écart,
Et certains tocards
Qui se croient libres,
Jouant les arbitres
De pitres il n’y a pas pire
Qu’est donc devenu le pluralisme
Sur les sites des deux plus grands,
Ex et futurs tirailleurs ?!
Toujours ferrailleur je suis
Vous le maître de l’ubiquité,
Votre cagoule pour moi,
N’est qu’un bout de bois
Ne voilant qu’indignité
Une raclure gigotant
Pour des touristes en transes
Sur ce Motel qu’est devenu le Net
UN GRAND HOTEL,
Un petit bordel
Comme tant de motels
Tous les « taximètèrs »
Vous le diront tel « novotel » !
Géré modèle boxon
Par « Condoboy »
Qui m’avait lancé
Depuis un bout de macadam :
«
Bokoum, SALAUD !
« NOUS » allons te faire la peau !,».
Puisqu’avec ses manières « moutta souppito »,
C’est votre style ou binôme,
Vous êtes de La Milice,
Cherchez à savoir où se trouve ce « nous »
À qui j’avais demandé en vain,
De sortir de ce « nous »
Nid de gone.
Shame on you
Clown ou clone
With the wind, Gone
Saïdou Nour Bokoum
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