Les Européens ont fêté ce jeudi, 9 mai à Conakry la Journée de l’Europe à la résidence de l’Union européenne. En prélude aux prochaines élections européenes, Madame Pons, ambassadrice de l’UE a indiqué que 2024 est une année importante pour l’Union européenne. Car dans quelques semaines, des millions de citoyens européens iront voter pour élire le nouveau Parlement européen. « (…) Ces élections donneront aux citoyens européens des moyens de peser sur la gouvernance de l’UE et de décider de ses futures orientations.
La Guinée ne fait pas exception à des réflexions similaires en ce moment charnière de son histoire. Je suis certaine aujourd’hui que chaque citoyen guinéen s’interroge aujourd’hui sur l’avenir de son pays. La future constitution tant attendue en sera une pierre fondatrice. Il est juste qu’elle soit adoptée avec l’accord du peuple dans le respect des délais et des engagements pris. (…), a exhorté la diplomate européenne.
La récation de M. Morisandan Kouyaté, qui donnait l’impression d’une mise au point doublée d’une reponse du « berger à la bergère », n’a pas échappé aux nombreux observateurs et autres diplomates invités à l’occasion.
Prenant la parole, le chef de la diplomatie guinéenne a indiqué qu’à l’image que la Guinee travail à créer une Constitution guinéenne de même que l’UE à travaillé à la créations de ses institutions. que cependant, la prochaine constitution ne sera pas un « éternel copier-coller du code napoléonien comme il est de coutume dans plusieurs pays”.
« Madame l’ambassadrice, contrairement à ce que pensent certains, je voudrais vous rassurer que ce n’est pas chaque Guinéen qui s’interroge sur l’avenir de notre pays. C’est plutôt le pays sous le leadership du CNRD et de son Président qui s’est interrogé et proposé subséquemment à tous les Guinéens sans exclusive en tant que nation, un programme de refondation à travers un dialogue inter-guinéen inclusif. (…)
Je voudrais aussi vous rassurer que notre Constitution sortira des entrailles du peuple guinéen et elle n’échappera à l’éternel copier coller du code napoléonien, comme il est de coutume dans plusieurs pays. (…) ».
Nous y reviendrons
Gbassikolo.com
Cette bonne vieille susceptibilite guineenne ! Sekou Toure ne disait-il pas fierement a DeGaulle en 1958 que nous preferions la liberte dans la pauvrete a la richesse dans l’esclavage ? Avec 65 ans de recul, on peut dire que la pauvrete, on l’a eu jusqu’a n’en plus pouvoir. La question est donc celle-ci: est-on libre quand on est pauvre ?
Ça sent le divorce entre DOUMBOUYA et ses parrainns… , Morisandan Kouyate, un ANGBANSALE très agaçant et arrogant, s’il s’agit de quémander la CI, il ne…rien mais dès qu’on les dit la vérité,il se met à …, ce Morisandan Kouyaté,est un pseudo panafricainiste, nationaliste