Grisée d’avoir fait l’histoire en devenant le premier pays arabe à avoir nommé une femme au poste de cheffe du gouvernement et échaudée par le défilé de Premiers ministres masculins ayant échoué à remettre la Tunisie sur les rails, l’opinion publique tunisienne semble accueillir avec bienveillance l’arrivée de Najla Bouden-Romdhane à la Casbah. Un a priori favorable qui cache mal l’ampleur des défis qui l’attendent.
Source: RFI Afrique
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