« Attention ! Farba Tibou n’est pas journaliste. Il ne remplit pas les conditions légales exigées par la loi guinéenne relative à la presse à savoir, être diplômé d’une école de journalisme reconnue par l’État ou avoir le niveau BAC+ 2 suivi de deux ans de stage sanctionné par une attestation du directeur de publication de la maison de presse en question ».
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Dans sa dernière sortie médiatique sur africaguinee.com, madame Farba Tibou KAMARA a une nouvelle fois qualifié monsieur Sidya Touré de menteur, de celui qui aurait raté sa carrière politique et qui n’aurait plus aucune crédibilité aux yeux des Guinéens. Cette sortie de Farba fait suite aux révélations de monsieur Touré lors de l’assemblée générale de l’UFR du 5 décembre 2015, selon lesquelles l’un des conseillers du capitaine Dadis Camara l’avait excité contre les victimes des massacres du 28 septembre 2009 en lui demandant de faire respecter l’autorité de l’État coûte que coûte pour obtenir l’annulation de la manifestation de l’opposition qui s’était soldée par des massacres et des viols qualifiés par la suite de crimes contre l’humanité.
Madame Farba Tibou KAMARA a très souvent manqué des occasions de se taire. Rien d’étonnant pour ceux qui le connaissent bien, et l’ont surnommé Tibou Baléwouli KAMARA, c’est-à-dire, Tibou dont les veines sont irriguées par le sang de rat. En langue soussou, Balé veut dire rat et wouli veut dire sang. Ce surnom vient du fait que Farba Tibou a un point commun avec les rats, à savoir mal aimés et souvent méprisés car nuisibles à outrance. Chaque sortie d’un rat est automatiquement suivie de bastonnades et autres expressions de dégout et de mépris. Il en est ainsi pour notre Gawlo national car, ce complexé et poisseux a toujours étendu sa poisse à tous les gouvernements dans lesquels il s’était déloyalement infiltré et ils ont tous connu une fin calamiteuse. Comme quoi notre Farba mérite bien son surnom de « Baléwouli » ! Avoir Farba Tibou avec soi, est un signe de déclin futur inévitable. Suivez ces exemples connus de tous les observateurs de la vie politique guinéenne :
1-Le gouvernement de monsieur Cellou Dalein Diallo dont Farba Tibou était membre, n’avait pas atteint une durée de vingt-quatre heures. Selon certaines sources, la présence de Farba y était pour quelque chose. Le général Lansana Conté avait un véritable mépris pour lui du fait qu’il est capable de tout pour un poste, même des faits répréhensibles pour la conscience humaine. Ce gouvernement a connu une fin humiliante.
2- Le gouvernement de monsieur Ahmed Tidiane Souaré qui comptait notre Farba poisseux en son sein, n’a pas dépassé les sept (7) mois et il a connu une fin chaotique. Vous vous souviendrez que le président Lansana Conté avait refusé de valider le gouvernement à cause de la présence de Farba Tibou. Il avait fallu que notre Farba fasse intervenir le président gambien monsieur Yaya Diammé qui n’est autre que le mari de la petite sœur de sa femme. Le président gambien avait passé 72 heures en Guinée avant que le président Conté n’accepte la présence de Farba Tibou dans le gouvernement. Nul besoin de dire que, faute de diplôme et de métier, notre Gawlo n’a jamais été nommé pour sa compétence, mais plutôt pour ses combines.
3- Le gouvernement du capitaine Dadis Camara au sein duquel le flatteur Farba Tibou avait réussi à se glisser seulement quatre mois avant le drame du 28 septembre. Ce gouvernement a connu une fin tragique. Après avoir trompé et poussé Dadis Camara à la faute, il n’a pas eu honte de lui fausser compagnie pour rejoindre l’adversaire de ce dernier en l’occurrence le général Sékouba Konaté. Quand un sans métier a une ambition surdimensionnée, il sera prêt à tout.
4- Le gouvernement du général presqu’analphabète Sékouba Konaté (aujourd’hui inculpé pour trafic de devise aux États-Unis), au sein duquel notre Farba s’était aussi infiltré et a tenté à de nombreuses occasions de saboter la transition, avait aussi connu un destin peu honorable. Vous vous souviendrez qu’après l’élection du Président Alpha Condé, notre Farba avait été interdit de quitter le territoire guinéen à cause du rôle néfaste qu’il avait joué pendant la transition. Pour fuir de la Guinée, il avait fait plusieurs tentatives de sortie sans succès. Il a fallu tout un bataillon conduit par le général Nouhou Thiam sous l’ordre du général Sékouba Konaté qui lui avait demandé de faire sortir le Farba Tibou de la Guinée à tout pris, même s’il faut bombarder tout Conakry. Le fait de croiser le chemin de notre Gawlo poisseux s’est révélé dramatique pour la vie et pour la carrière du général Nouhou Thiam qui est encore aujourd’hui en prison. Tout lecteur peut constater que Farba Tibou KAMARA est un poisseux dont la présence au sein d’un groupe ou d’un gouvernement constitue un signe de fin peu honorable ou dramatique.
Selon certaines sources, notre Farba a été maudit par ses parents pour cause de son inconduite notoire. C’est ce qui expliquerait la poisse qui le suit et qu’il étend à tous ses compagnons. Il faut absolument se méfier de sa compagnie !
Notre Gawlo peut-il traiter quelqu’un de menteur alors que toute sa vie est bâtie sur du mensonge ? Mensonge sur son diplôme, mensonge sur sa classe sociale (Farba) et mensonge dans ses prises de positions.
S’agissant de son niveau d’études, il a toujours fait croire aux Guinéens qu’il était un universitaire ayant obtenu ses diplômes en Côte d’Ivoire. Vérification faite, il se trouve qu’il n’a jamais passé une seconde sur les bancs d’une université dans le monde ! Lors de sa dernière sortie médiatique relative à cette question sur africaguinee.com, il a été obligé de revoir son mensonge à la baisse, voiler son usurpation de diplôme, en ne revendiquant plus que le baccalauréat, ce qui reste aussi à vérifier.
Sur sa classe sociale traditionnelle, il montre un complexe incompréhensible. Il n’y a ni honte ni crime d’être Farba. Les africains et plus particulièrement les Guinéens adorent et respectent leurs Farbas dont le rôle social est indispensable et irremplaçable. Ce qui est dramatique, c’est le mépris que Farba Tibou lui-même voue pour sa classe sociale. Une chanteuse de Dinguiraye issue de sa famille est l’une des pièces maitresses de la culture guinéenne, reconnue et respectée par tous les Guinéens. La seule explication de cette tentative d’auto-déclassification sociale réside dans le fait qu’il a manqué les deux éducations essentielles pour sa vie, à savoir, l’éducation scolaire et familiale. Son manque d’éducation scolaire a engendré en lui, un complexe énorme vis-à-vis des diplômés. Ayant une ambition surdimensionnée par rapport à son niveau d’études, il est devenu allergique à la compétence, d’où son hostilité maladive à Sidya Touré dont la compétence est reconnue sur le plan national et international.
Quant à son manque d’éducation familiale, cela est matérialisé entre autres par l’insolence qui caractérise ses expressions tant orales qu’écrites vis-à-vis des personnes qui, en termes d’âge, peuvent être son père. En Afrique, les jeunes qui se permettent de tels faits ne font que dévoiler leur manque d’éducation familiale. Ce qui n’est nullement étonnant s’agissant d’un enfant maudit par ses parents pour son inconduite notoire. Un Farba bien éduqué, chante les louanges des personnalités de la classe de Sidya Touré, il ne les insulte jamais.
Dans ses prises de positions, notre Gawlo Tibou se révèle un menteur inconscient. Il ignore que le mensonge aussi exige une dose d’intelligence pour éviter d’être ridicule. Il s’est habitué à publier des articles soutenant fermement une position, puis quelques temps après, il se permet de publier un autre article soutenant aussi fermement le contraire de ce qu’il soutenait ! Il en est ainsi de ses nombreuses publications contre le président Alpha Condé et monsieur Sidya Touré. Dans ses attaques contre le président Alpha Condé, il affirmait souvent que ce dernier n’avait pas atteint le second tour de la présidentielle de 2010 et que c’est Sidya Touré qui devait être à sa place. En s’en prenant à monsieur Sidya Touré aussi, le même Farba affirmait qu’il avait été battu par le président Alpha Condé du fait qu’il n’avait plus beaucoup de militants. Dans ces mêmes publications relatives au premier tour de la présidentielle de 2010, il disait qu’il avait juste conseillé l’ancien président de la CENI, feu Ben Sékou Sylla de ne pas annuler les bulletins de vote litigieux, et d’en référer à la Cour suprême. Pourtant, dans ses dernières publications, il ne parle plus de conseil, il dit avoir mis son véto, empêchant que le président de la CENI fasse son travail conformément au code électoral. Vous comprendrez qu’il n’y a ni logique ni cohérence dans ses prises de positions. Ce qui constitue l’un des signes évidents de mensonge.
Nous constatons que, petit-à-petit, notre Farba commence à dévoiler la place qu’il occupait au sein du CNDD à travers son droit de véto de fait, et le rôle qu’il y avait joué et qui a abouti non seulement aux massacres du 28 septembre 2009, mais aussi aux massacres qui ont suivi l’élection présidentielle de 2010. Rien d’étonnant car, s’agissant des auteurs et complices des massacres, les observateurs avaient fait état de l’existence d’une liste secrète comportant des noms de civils et militaires. Monsieur Idrissa Chérif qui le qualifiait de traitre démissionnaire, l’avait également accusé d’être l’auteur des écrits que portaient les banderoles des pros Dadis Camara et du CNDD le jour même de la tragédie du 28 septembre 2009. Ce qui laisse peu de doute quant au rôle majeur joué par notre Farba pour la réalisation de ce drame. Il sera forcement rattrapé par son sombre passé.
Dans son article, notre Gawlo ose dire, sans honte ni gène, que Sidya Touré a raté sa vie, sa carrière politique et que les Guinéens ne lui accordent plus aucun crédit ! Ignorerait-il que, depuis la rencontre entre Sidya Touré et le président Alpha Condé, les Guinéens submergés de joie ne parlent plus que de cela, exprimant leur souhait de voir le président Alpha Condé associer Sidya Touré à la gestion de notre pays ? De telles affirmations allant à l’encontre de la réalité ostentatoire ne sont que les conséquences de son manque de niveau intellectuel.
Sidya Touré est un cadre dont la compétence est reconnue sur le plan national et international. L’hostilité d’un Farba non bachelier œuvrant pour la pérennisation de la médiocratie en Guinée ne peut rien contre cette réalité.
Nous comprenons les craintes de notre Gawlo. Elles sont consécutives à la décision du président Alpha Condé de ne miser que sur la compétence dans la gestion future de notre pays. Dépourvu de tout diplôme et de tout métier, notre Gawlo et beaucoup de Guinéens dans sa situation ne dorment plus. Ils font feu de tout bois pour décourager les bonnes volontés qui souhaitent travailler ensemble pour le bonheur de notre pays.
Farba Tibou doit revoir son ambition à la baisse. S’il était sénégalais, étant sans diplôme et sans métier, le seul poste qu’il aurait pu prétendre dans l’administration serait celui de planton. Quant à son général chéri le trafiquant de devise, s’il était aussi sénégalais, il n’aurait jamais dépassé le grade de sergent dans toute sa carrière faute de niveau d’études. Dans ces deux cas, vous pouvez vérifier les conditions de recrutement de haut cadre de l’administration sénégalaise et le niveau d’études des officiers de l’armée sénégalaise. Il est temps que la Guinée se normalise. C’est la compétence qui fait avancer un pays et non l’incompétence.
La situation économique et sociale actuelle de la Guinée exige la contribution de toutes les compétences. Ce qui est loin d’être le cas de notre Farba. Il faut qu’il accepte de laisser la place à la compétence pour le besoin urgent de redressement de notre pays. Quand la croissance sera de deux chiffres et que les Guinéens décideraient de fêter l’évènement, notre Farba national aura toute sa place. Il pourrait venir aux choix, avec sa flûte ou sa calebasse, chanter les louanges des filles et fils de Guinée qui auraient redressé notre pays. A chacun sa place dans une société. Le problème ne réside pas du fait qu’il soit un Farba. C’est simplement parce qu’il n’a ni diplôme ni métier.
Qu’on le veuille ou pas, Sidya Touré fait partie de ces Guinéens qui font honneur à leur pays.
La cellule de réaction rapide de l’UFR France prête à rendre coup pour coup.
La cellule de réaction rapide de l’UFR France