Dans une seconde déclaration publiée quelques heures après la visite des chefs religieux à la maison centrale, Foniké Menguè et Cie disent avoir été désagréablement surpris d’apprendre qu’en lieu et place des cours et tribunaux, c’est le Gouvernement qui accorde la liberté sous contrôle judiciaire.
Et c’est sans surprise que les leaders du FNDC ont rejettent toute offre de libération sous contrôle judiciaire et tout engagement de renonciation à leur combat citoyen et ils exigent l’ouverture immédiate de leur procès.
Ci-dessous déclaration :