Le Prophète de l’Islam, AHMED(PSL) a eu 7 enfants et le Prophète des chrétiens, JESUS (PSL) a eu 12 apôtres. 7 et 12 sont ils fortuits ? Pourquoi 7 pour Ahmed et 12 pour le Christ?
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En effet, 7 est la somme de 3 et 4, mais aussi le nombre de jours de la semaine. 12 est le produit de 3 et 4, mais aussi le nombre de mois de l’année. Pour me résumer : 7=3+4 et 12=3*4. Une relation mathématique connue de Viète, liant la somme et le produit de deux entiers naturels.
Par ailleurs, 3 est le chiffre de l’homme et des cieux et 4 celui de la femme et des terres. Avec 3 et 4, le chiffre 7 se présente comme l’union des contraires, le principe du dualisme et le symbole de la procréation.
Je pense ceci: Autant les jours de la semaine et les mois de l’année sont indispensables dans la vie du mortel monothéiste, autant ces deux prophètes d’ALLAH le seront aussi. J’ose même croire, que tout serait préétabli calculé par une intelligence supérieure. AHMED et JESUS seraient à mon avis : Respectivement le nombre des jours de la semaine et le nombre de mois de l’année dans la vie des mortels monothéistes.
Tant que nous vivrons avec les jours de la semaine et les mois de l’année, les musulmans peuvent être convaincus d’être en permanence avec AHMED et les chrétiens en permanence avec le CHRIST.
1ère observation: Quand on ajoute 7 à 12 on obtient 19. Or 19 est un multiple du nombre de chapitre (versets) du Coran (114=19*6). Par ailleurs, le premier verset du premier chapitre du Coran « Bismillâhi-r-Rahmân ir-Rahîm » comporte 19 lettres.
2ème observation: Quand on fait la différence entre 12 et 7 on obtient 5. Or 5 est le nombre de prières obligatoires du musulman par jour, c’est aussi le nombre de grands prophètes de l’histoire monothéistes (Noé-Abraham-Moise-Jésus-Ahmed).
A ce XXIème siècle, il reste, cependant, difficile de tracer la ligne frontière entre les coïncidences qui peuvent s’expliquer par la théorie des probabilités et celles qui semblent faire partie d’un plan et relever d’une intelligence supérieure. A se poser la question de savoir si les forces invisibles sont douées d’un certain sens de l’humour et cherchent parfois à nous divertir ou bien, seulement, à attirer notre attention afin de nous faire réaliser que ce que nous considérons hasard ou coïncidence est la preuve de notre limite ?
« La plus grande expérience que l’on puisse faire est celle du mystérieux » disait Einstein.
Le hasard existe-t-il vraiment?
Le hasard ne serait-il pas la science de l’invisible?
Le vocabulaire hasard ne commencerait-il pas là où notre intelligence se heurte à un mur de pierre ?
Pr. Guillaume Hawing