Rendez-vous manqué dimanche dernier à Agadez pour les militants panafricanistes Kémi Séba et Nathalie Yamb, et pour le ministre porte-parole du gouvernement. Le meeting qu’ils devaient y tenir a été annulé la veille au soir, car, selon plusieurs sources, la population ne souhaitait pas les recevoir. Pourquoi cette marque de défiance ? Est-ce le signe que le régime militaire est moins populaire qu’il le prétend dans cette région du Niger ? Entretien avec le journaliste nigérien Seidik Abba, président du Centre international d’études et de réflexions sur le Sahel.
Source: RFI Afrique
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