Dans une correspondance datée du 13 janvier 2017, M. Sidiki Kobélé KEITA, Enseignant-Chercheur, avait interpellée la plus haute juridiction du pays sur la nécéssité d’un néttoyage de la constitution, au motif qu’elle « n’est ni cohérente ni légitime ». En guise de reponse, le Président de la Cours Constitutionnelle M. Kèlèfa SALL a déclaré avoir pris acte de la teneur du courrier, tout en précisant qu’en « tant qu’arbitre, régulatrice et gardienne de la Constitution » la Cours ne saurait ni approuver, ni désapprouver les idées de M. Kobélé Keita, « au risque d’entretenir la polémique ». Lisez plutôt cet échange de courrier qu’il a bien voulu partager avec ses compatriotes…!
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