La junte, qui avait annoncé après le putsch l’arrestation de hauts dignitaires du régime Bongo. Ils étaient accusés de « haute trahison contre les institutions », « détournement massif des deniers publics », « malversation financière internationale en bande organisée », « faux et usage de faux », « falsification de la signature du président », « corruption active » ou encore « trafic de stupéfiants ». Une enquête avait été ouverte et visiblement, les autorités le font savoir.
Source: RFI Afrique
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