Quand Baydi Aribot règle ses comptes avec….

Aribot
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AribotEntre l’Union des Forces Republicaine (UFR) et ses anciens et nouveaux alliés, « rien ne va plus »! Et pour cause, la recente signature des accords politiques « entre deux partis politiques », signature devant engager tous les acteurs politiques. Seulement voilà, ce qui était sensé être « une grande avancée », est devenue « la paume de discorde » entre le RPG/UFDG et les autres (UFR, PEDN, BLOC…..etc). l’UFR, en particulier, n’a pas digérer d’être « mis à l’écart » et met en garde ceux qui aiment « trop dribler dans leur propre surface de réparation »  et « ceux  qui s’acharner contre le leader de l’UFR ». Lisez plutot ce coup de gueule de Baydi Aribot…

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« On a eu des positions louables lors des discussions au dialogue. Tout ce qu’on a dit c’est ce qui a été accepté. Finalement, par des machinations, ils ont fait à la dernière minute, ce qu’ils ne devraient pas faire. On a dit de ne pas dire, mais moi je vais le dire. Ceux qui pensent qu’avec ces jeux machiavéliques, ils peuvent bâillonner l’UFR, ils se trompent. Parce qu’en driblant trop dans sa surface de réparation, on risque de se faire auto-goal.  En voulant trop s’acharner contre un leader politique, on risque de plomber son avenir politique dans ce pays. Chacun se reconnaîtra dans ce que je dis. L’avenir c’est pour l’UFR. On ne peut pas enfermer le débat dans ce pays entre deux blocs, comme si on était dans la période de la guerre froide, ou ça sera la dictature du suivisme ou quand tu n’es pas dans un clan, tu n’as pas droit à la parole. On ne peut pas enfermer l’UFR. L’UFR a droit à la parole. Parce que ce n’est pas quelqu’un qui a donné ce poids à l’UFR. C’est le peuple.

  A travers des élections où on pouvait gagner plus, on nous a donné que ce qu’on a aujourd’hui. Mais ce n’est pas grave. On a accepté, on est 3ème force politique de ce pays, on a un groupe parlementaire. On ne peut pas continuer à nous trainer (…). Ça va finir. Certes on n’est pas un parti violent. C’est pour cela qu’on pense que nous ne pouvons pas régler nos problèmes autrement. Mais je pense que vous tous avez vu ce qui se passe dans ce pays en ce moment. Vous devez vous responsabiliser à la base. Ne comptez pas sur quelqu’un. Comptez sur vous-même. Parce que ce qui se trame maintenant sera la bataille du futur. Si vous vous laissez faire, votre président Sidya Touré, vous ne pouvez pas l’amener là où vous devez l’amener. Maintenant, si vous prenez vos responsabilités, il ira là où on veut qu’il aille. A partir de maintenant, ce qu’on fera à l’Assemblée, nous le ferons ».
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