Au Burkina Faso, le procès des assassins présumés de Thomas Sankara se poursuit devant le tribunal militaire de Ouagadougou. Ce lundi 8 novembre, l’accusé Jean-Pierre Palm, ancien directeur national de la sûreté, nommé chef d’état-major de la gendarmerie un mois après le coup d’État, était encore à la barre. Au cœur de cette audition également, des écoutes qui auraient pu incriminer l’ancien président Blaise Compaoré.
Source: RFI Afrique
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